Moeurs
stercorales (24 - 10 - 2002)
"
Il fallait des jésuites pour descendre jusque là... " |
| | «
Dans un dictionnaire qui comprend tous les mots de la langue, il faut d'autant
plus se résigner à parler de chaise percée qu'il fut un temps
où l'usage de ce meuble était général, et nombre de
villes de l'Europe, Naples notamment, pour n'en citer qu'une, font encore usage
de ce meuble primitif. Dans les cours, ce meuble s'appelait la « chaise
d'affaires », non peut-être sans raison, si l'on en croit l'anecdote
suivante, racontée dans les mémoires du temps. Les jésuites
achetaient d'un valet de la garde-robe la chaise percée du feu roi d'Espagne,
pour tâcher de découvrir dans les papiers dont Sa Majesté
s'était servie, quelques éclaircissements sur ce qu'il importait
de savoir. Un frère (jésuite) blanchissait les papiers de son mieux,
en rapprochait les morceaux, puis les rusés politiques lisaient et tenaient
conseil. C'est dans le même endroit qu'on a trouvé la meilleure partie
des papiers du cardinal Gravelle. » (Larousse) Je
savais les jésuites extrêmement vils et bas, méandriques et
combinards, mégalomanes et vénaux, mais je n'aurais jamais cru que
ces immondes religieux allaient jusqu'à fouiller les excréments
monarchiques, dans le but d'y repérer des révélations utiles
à leur politique. Si ce n'est pas le plus creux que ces scatophiles ambitieux
puissent descendre, leur ambition n'a pas de fond. Imaginons le spectacle : Fouiller
dans les ordures d'un cadavre, blanchir les papiers qui ont servi à désexcrémenter
le postérieur souverain, élaguer les crottes, les résidus,
les vestiges intestinaux, puis réunir les débris excrémentifiés
de ce parchemin, pour en faire un document politique ! Des cochons, les vrais,
les pachydermes à soies et à groin, les hôtes de la soue enfin,
n'en feraient pas autant, parce que leur ambition ne descend pas jusqu'au trou
du cul des rois. Il
fallait des jésuites pour descendre jusque là. Ce
que je ne m'explique pas, pourquoi conservait-on ces paperasses ? Les gardait-on
comme reliques ? C'est possible ! Dans un âge où tout était
sacré, le papier de toilette des monarques, grassement saturé des
décombres intestinales, recelait peut-être quelques vertus mystiques
... Leur cur pourri en recelait bien. Quel âge ! LAROUSSE reprend
: « La fonction de gentilhomme de la chaise était fort recherchée
dans les cours, où tout appartient à la faveur. Le trait suivant,
tiré des Mémoires sur la cour d'Espagne, montre jusqu'où
peut aller la bassesse des courtisans. Le comte de Bénévent, sommelier
du corps, voyait avec chagrin que le roi Philippe V allait seul à sa garde-robe
pour le priver de toute l'étendue du service et d'une partie de ses privilèges
; tandis que, au contraire, ce prince n'agissait ainsi que par égard pour
un homme aussi considérable. Le
grand Dalaï Lama du Tibet fait manger ses excréments à ses
adeptes, qui se chiffrent par millions. Les lamas, ses vicaires, en font des pilules
avec lesquelles ils font communier les adhérents merdivores ; mais, dans
les pays dits civilisés, je n'aurais jamais cru que des hommes, appartenant
à la noblesse surtout, aient ambitionné le nauséabond privilège
de respirer les défécations de leur coryphée. L'homme est
plus bas que la bête ! LAROUSSE continue : « N'oublions pas, puisque
nous sommes sur ce chapitre, la chaise dite stercoraire, sur laquelle on fait
asseoir tout nouveau pape le jour de son intronisation. C'est une simple chaise
où le pape s'assied pendant que le chur chante : Suscitans
de terra inopem et de stercore erigens pauperem, pour montrer qu'il n'est
encore qu'un simple mortel et qu'il va devenir le vicaire de J.-C. » Il
s'assit ensuite sur la chaise percée, pour qu'on y fît les constatations
d'usage, à savoir qu'il n'était pas une femme comme Jeanne la papesse,
ni un hermaphrodite. Car on sait maintenant que cette cérémonie
bizarre et drolatique ne fut instituée qu'après qu'on se fût
aperçu qu'une femelle avait été papesse à l'insu même
du conclave, et qu'elle avait accouché d'un fils deux ans après
son couronnement. Comme elle mourut lors de la parturition, après la fatale
découverte, le conclave institua la cérémonie de la chaise
percée, afin de s'assurer si le candidat était bien mâle et
apte à se faire appeler saint-père et non sainte-mère. Larousse
affirme que le duc de Vendôme, le vaincu d'Oudenaarde et le vainqueur de
Villa-Viciosa, le petits-fils de César de Vendôme, fils de Henri
IV, passait une grande partie de son temps, à Anet et même dans son
camp, sur la chaise percée ; il tenait ses conseils et recevait les ambassadeurs,
assis sur cet étrange siège. Le fameux Alberoni dut sa faveur et
sa fortune à la chaise percée du duc de Vendôme. » Ce
duc de Vendôme devait être un constipé endurci et ..., ducal. René
Thirifays Site
belge anti-monarchique :
http://www.crk2000.yucom.be
Homosexualité
et Préjugés (22 - 09 - 2002)
Les
athées du web peuvent être aussi rétrogrades, homophobes,
et véhiculer autant de préjugés xénophobes que d'autres.
Je connais des Imams plus ouverts d'esprit que cette Evelyne B, m'enfin... Paraît
qu'elle fait dans la "psycho de café de la gare" sur ses sites
internet, ça explique bien des choses. | |
| Monsieur,
J'ai bien apprécié la visite (partielle) encore de votre site
anticlérical. Cependant, puisque vous dites qu'il ne devrait pas y avoir
aucune vérité inattaquable, je me permets de faire la critique de
ce que j'ai lu et d'y ajouter quelques suggestions. D'accord pour dire que
les religions encoragent le sexisme, l'esclavage et le racisme, et qu'il faut
se battre à tout prix contre ceux-ci. Cependant, je ne crois pas qu'il
faille prôner l'homosexualité, pas plus qu'il ne faut la réprimer.
Je ne sais pas si vous le savez, mais la prêtrise était et est est
toujours la porte d'entrée à la pratique de l'homosexualité
et de la pédérastie, toutes des façons de fuir les femmes
vues comme des ennemies (ou de la chair molle!) par des gays effarouchés
par une conception tordue et... fort religieuse de la femme (homme dur-femme molle)!
|
Pour
preuve: les gays et les lesbiennes haïssent fréquemment les membres
du sexe opposé, mais plus encore la femme ! Combien de ces lesbiennes
n'ai-je pas rencontré qui croyaient posséder un pénis
! Et ça va, lors de la copulation, jusqu'à simuler le mouvement
d'intromission coïtal de l'homme! Oui monsieur! Tout ça à cause
du racisme inhérent à la pensée religieuse qui rend intolérant
face à tout ce qui n'est pas perçu comme <<soi>>, à
tout ce qu'on perçoit de "mou" en nous. L'homosexualité
n'est pas une maladie : elle est retrait narcissique sur soi, après bien
des blessures ou une blessure primordiale chez l'hypersensible, sur une "fermeté"
illusoire, la fermeté du pénis <<tout puissant>>. L'homosexualité
est apitoiement sur soi, une victimisation maintenant largement encouragée,
un état de guerre. Qui plus est, on tente de faire des adeptes, si il le
faut, en violant des hétérosexuels ou des enfants qui resteront
honteux toute leur vie. Parce qu'il faut croire que certains homosexuels font
exactement actuellement ce que les premiers chrétiens faisaient, ou ce
que les prêtres ont toujours fait dans les couvents : ils partent en
guerre contre l'hétérosexualité, qu'ils voudraient voir
mise au ban de la société.Voyez-vous, comme tous les infériorisés
qui accèdent au pouvoir, ils ont besoin de se consolider dans une estime
de soi chancelante, en éliminant la dissidence.
|
La
photo pornographique que j'ai entrevue (...) sur votre site me confirme dans cette
intuition que vous fuyez la féminité, pour vous réfugier
dans ce qui ressemble à de la pédérastie ou de la pédophilie.
Je n'ai rien contre les femmes asiatiques, toutes menues et toutes délicates.
Cependant, le penchant qu'ont certains occidentaux pour ces femmes au visage de
petites filles et au corps d'enfant me laisse croire à une fuite de la
femme affirmée, mûre, autant de physionomie comme de caractère.
À cause de cela, vous ne vous attirerez pas, à mon avis, beaucoups
de sympathies, avec votre site, bien au contraire. Il y a des politiciens
(et des cléricaux) qui agissent plus intelligemment que vous. Je mettrai
cependant un lien de mon site vers le vôtre, parce que sa présentation
est belle, et les idées présentées attrayantes. Mais je n'hésiterai
pas à en faire la critique de la manière ici présentée.
Je n'ai vraiment pas envie de voir l'athéïsme se développer
commme une nouvelle religion... Avec les tits drapeaux et les tits symboles d'appartenance.
Watch out! Evelyne
Bertrand auteure du site "L'araignée sous le toit"
et de "Les religions de la haine : Aimer à mort" Contacter
Evelyne Bertrand Haut
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Dieu
(19 - 09 - 2002)
Message
adressé à de jeunes musulmans par un ex-intégriste religieux,
redevenu "simple homme" | | |
J'ai
la parfaite conviction que, même si Dieu existait, il ne pourrait être
comme le décrivent les religions. Mathématiquement,
on a montré que croire à un "Dieu" était plus logique
que de ne pas croire en lui ? Comment cela est-il arrivé ? Ceux qui
défendent cette idée se basent sur cette démonstration : Premièrement
: prenons le cas d'une personne croyant à un "Dieu". Une
fois morte, cette personne va se trouver devant deux situations : 1 - Soit
"Dieu" existe, et dans ce cas elle a gagné donc elle a plus un
(+1). 2 - Soit "Dieu" n'existe pas, et dans ce cas elle n'a rien
perdu donc elle a zéro (0). L'ensemble des deux résultats nous
donne plus un (+1). Par conséquent, cette personne est gagnante et ce dans
les deux cas. Il vaut, donc, mieux croire à un "Dieu". Deuxièmement
: prenons le cas d'une personne non croyant à un "Dieu".
Une fois morte, cette personne va aussi se trouver devant deux situations :
1 - Soit "Dieu" existe, et dans ce cas elle est perdante. On lui attribue,
donc moins un (-1). 2 - Soit "Dieu" n'existe pas, et dans ce cas
elle n'a rien gagné. Elle a droit à un zéro (0). L'ensemble
des deux résultats nous donne moins un (-1). Dans le premier cas la personne
est perdante. Par conséquent, elle prend un risque de 50% de perdre.
Suite à ses résultats, il vaut mieux croire en un "Dieu". Avouons
que cette logique est très forte. J'ai même été très
croyant en cette logique sans sentir le moindre doute se glisser en moi quant
à l'existence de "Dieu". J'ai trouvé le salut absolu en
croyant en lui. D'ailleurs, je suis sûr que parmi vous, il y en a qui trouvent
en cette logique une grande victoire pour croire en " Dieu " et être
en paix. Cependant,
le problème est beaucoup plus complexe. Il va au-delà d'une simple
opération mathématique et ne retient pas seulement le fait de croire
ou de ne pas croire en un "Dieu". D'ailleurs, si l'affaire s'arrêtait
à ce stade il n'y aurait aucune raison que les athées déclarent
la guerre intellectuelle contre les religions. Essayons, alors, de chercher beaucoup
plus loin et de voir autrement. Tout d'abord, pour croire en un "Dieu"
il faut choisir entre plusieurs "Dieux ". Ainsi l'on peut croire au
"Dieu" chrétien, au "Dieu" juif, au "Dieu"
hindou, etc. Ensuite, on peut soit croire à un "Dieu" depuis
la naissance, c'est-à-dire suivre celui des parents, soit croire à
un "Dieu" qu'on a choisi durant sa vie. A présent, poursuivons
notre démonstration, en se basant sur des méthodes mathématiques. Premièrement
: supposons qu'il existe 5 sortes, seulement, de croyances en une divinité
existante. On aura alors une chance sur cinq de tomber sur le " bon "
Dieu. Ce qui nous laisse la probabilité de quatre sur cinq d'être
au même degré qu'un athée. On peut déjà constater
que le risque est beaucoup plus important pour le croyant que pour l'athée.
Ainsi, en matière de risque, l'athée prend moins de risques que
celui qui croit en "Dieu". Deuxièmement
: il ne suffit pas de croire ou de choisir le " bon " "Dieu"
existant, il faut aussi en croire à son prophète et à son
livre sacré et pour cela il faut tomber sur la " bonne " secte.
Comme nous le savons, chaque religion se divise en plusieurs sectes qui, chacune
interprète à sa manière les propos divins. On supposera alors
que chaque religion se divise en cinq grandes sectes. Sans oublier de mentionner
que, d'un côté, il y en a beaucoup plus que cinq et que, d'un autre
côté, chaque secte affirme que les autres sont fausses. Ce qui augmente
le risque de se tromper parce qu'il faut, en plus de la religion, choisir la "
bonne " secte. En
joignant la première et la seconde supposition on aura ainsi 1 chance sur
25 de tomber sur la bonne. Continuons de supposer qu'on a eu une grande chance
de tomber sur la bonne. Désormais, le chemin ne s'arrête pas là
parce que le vrai croyant c'est le " bon " pratiquant et s'il ne pratique
pas il en sera quasiment au même degré que celui qui ne croit à
rien, et même pire parce que dans ce cas : il n'est ni non croyant ni infidèle
mais plutôt un hypocrite, et toutes les religions condamnent ce dernier.
Il sera même le plus châtié par "Dieu" parce qu'il
sait ce qui est juste tout en ne l'accomplissant pas. Il sera ainsi doublement
châtié que celui qui ne connaît pas ou celui qui n'a pas cherché.
Pratiquer, ce n'est pas facile, non plus, il faut sacrifier sa vie qui n'est,
pour un croyant, qu'un simple passage vers la vie éternelle. Le croyant
qui a une chance sur 25 d'être sur le bon chemin doit en plus sacrifier
sa vie pour "Dieu" à travers les prières, les obligations,
etc. et même pouvoir être capable de mourir pour "Dieu"
et devenir martyre. Quelle sera la réaction de ce dernier si, une fois
mort, il ne trouve pas le "Dieu" en qui il a cru durant toute sa vie
? Comment ose-t-on dire qu'il n'a rien perdu ? Pourtant, bien au contraire, il
aura perdu toute sa vie. Il est perdant à 100% et non pas comme l'athée
qui, s'il trouve "Dieu" ne va perdre que 50%. Franchement, pour être
un bon calculateur il faut procéder autrement. Reprenons, alors, notre
démonstration en introduisant la variable " Vie ". -
Prenons le cas de celui qui tombe aussi bien sur la " bonne " religion
que sur la " bonne " secte et qu'il soit un vrai pratiquant : 1
- Si "Dieu" existe : il a perdu sa vie donc il a moins un (-1) et gagné
après la mort donc il a plus un (+1). Le tout donne zéro (0).
2 - Si "Dieu" n'existe pas : il a perdu sa vie donc il a moins un (-1)
et n'a rien gagné après la mort donc il a zéro (0). Le tout
donne moins un (-1). L'ensemble des deux résultats donne moins un (-1)
et ce dans le meilleur des cas. - A présent, prenons la situation d'un
athée : 1- Si "Dieu" existe : il a gagné sa vie donc
il a plus un (+1) et après la mort son cas ne sera pas pire qu'un mauvais
croyant ou qu'un non pratiquant, ni d'ailleurs de celui qui n'est pas tombé
sur le bon "Dieu", donc la note ne sera pas catastrophique même
si on lui donne moins un (-1). Le tout donne zéro (0). 2 - Si "Dieu"
n'existe pas : il a gagné sa vie donc il a plus un (+1) et après
la mort, il n'a rien perdu, au moins a-t-il bien vécu sa vie, donc on lui
donne zéro (0). Le tout donne plus un (+1). L'ensemble des deux résultats
donne plus un (+1). A
partir de cette démonstration, l'athée sort vainqueur. Ce qui est
beaucoup plus logique parce qu'il faut ajouter à cette opération
mathématique à plusieurs autres variables et pour n'en citer que
la plus importante. Il s'agit, bien évidemment de cette vie réelle
qu'il faut vivre bien avant toute autre chose. Cette fois, l'athée est
vainqueur, bien avant même le bon croyant qui a sacrifié sa vie pour
un "Dieu". De plus l'athée a bien vécu sa vie ; il a connu
une vie libre et il aura profité de tous ses plaisirs. Il a, ainsi, compté
sur lui-même et non pas sur un "Dieu". Pour
finir, il n'y a pas de "Dieu" démocrate qui nous donne notre
liberté, ne serait-ce que la liberté de croire ou de ne pas croire
en lui, sans trop nous alourdir des prières et des obligations contre la
nature humaine et des lois contre toute logique, comme s'il ne connaissait rien
de la nature humaine. Dieu manque vraiment de connaissance et de civilisation.
Il ne sait que nous infliger des châtiments barbares tels que l'idée
de l'enfer. Même, s'il existe un "Dieu" digne d'être un
"Dieu" qui me donne une totale liberté de ne pas croire en lui.
Eh ! Bien je ne croirai pas en lui. Karim
LABIDI ex-terroriste, ex-intégriste,
démis de ses fonctions - par sa soeur Samia aussi.. Prix
spécial « Littérature à chier une pastèque »
décerné à Karim Labidi, responsable du site www.islamla.com Nous
récompensons Karim Labidi pour sa contribution à la littérature
engagée dans la libre pensée : Grâce
à ses 3 bouquins, on sait maintenant avec certitude que certains livres
sont écrits pour être lus, alors que d'autres le sont pour être
engagés bien profond dans le fion de son auteur. Il existe donc des pensées
barbapapa, des individus fils-à-papa, mais aussi des livres à caca.
Les torchons de Karim appartiennent à cette dernière catégorie.
|
Karim,
mon Frère ex-intégriste, de Karim Labidi Signé
par Samia Labidi, cette histoire romancée du parcours de Karim ne vaut
que pour quelques rares éléments informatifs. Sa rédaction
et le concept tout entier du bouquin sont d'une naïveté et maladresse
qui finissent par désespérer. A un point tel que la première
question que l'on se pose, dès les premières pages du livre, est
"Quel est donc l'âge mental de l'auteur ? ". N'ayant pas la réponse
à cette question dans ce livre, on se contentera d'une évaluation
entre 10 et 14 ans. Les thèmes récurrents de ce bouquin sont
néanmoins ses exagérations et préjugés karimiesques,
- déjà en ébauche -, et certaines affirmations d'un grotesque
éhonté, sans aucune source ni référence... Note
: 2/20 (parce qu'on est humains)
|
D.
le Zéro Neutre, de Karim Labidi Un
foutage de gueule de cette envergure, ça vaut moins que 0. Dans une terre
de justice, ce torchon devrait valoir à son auteur une année de
travaux forcés pour "foutage de gueule littéraire".
Son bouquin aurait dû s'appeler "D. le degré 0 de l'écriture"
; et au lieu de le vendre, l'auteur devrait payer les gens pour qu'ils le
lisent. Espèce d'escroc ! Mais on ne vit pas dans un monde de justice.
C'est un tel ramassis de CONNERIES et VERBIAGES abracadabrants, sur le vide remplissant
le néant de son intellect, que le "bouquin" ne vaut que par la
rigidité de son papier : suffisante pour utiliser ce torchon comme rabot
sous le pied d'une table à manger boiteuse. C'est sans doute un des
plus mauvais et ridicules "essais" de toute l'histoire de l'humanité
- toutes langues confondues ! Je n'exagère même pas, et très
franchement, on serait intéressés de connaître le titre d'un
ouvrage plus stupide et parfaitement absurde que celui-ci. Si vous en trouvez
un, téléphonez-nous au +41 22 328 85 32 Note
: 0 pointé. Comme le titre du livre le suggère déjà. Azel
Mazel Vous vous doutez bien qu'après la lecture du torchon "D.
le zéro neutre", plus personne ne serait assez stupide pour acheter
un autre bouquin de Karim Labidi et consoeur. Nous ne l'avons donc pas lu. Son
auteur étant une telle calamité, et de surcroît complètement
timbré, si ce dernier livre (que nous ne lirons jamais) était médiocre
- voire, pourquoi pas, moyen ou même bon - , il faudrait de suite déposer
plainte pour violation de droits d'auteur, ou vol de manuscrit. Note :
entre 0/20 et 2/20. A vue de nez... C'est
pourquoi nous sommes si heureux de te remettre, Karim Labidi, ex-intégriste
mais toujours vrai escroc littéraire, ce grand prix de la « Littérature
à chier une pastèque ». Haut
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Abraham
(19 - 09 - 2002)
Message
adressé par Robert Letan, ami de l'association | |
| Dans
toutes les manifestations d'athéisme une chose me frappe: l'attaque vise
essentiellement le christianisme. On parle de LA RELIGION et on pense christianisme.
Plus précisément on pense Catholicisme. ( Avec juste raison, c'est
la pire ). Ce
serait oublier une chose : c'est que le catholicisme (Invention de Paul de Tarse)
n'est qu'une évolution du Christianisme, tout comme le Protestantisme est
issu du catholicisme et que les innombrables sectes plus ou moins dangereuses
qui attrapent les gogos et leur porte-monnaie sont issues de ce que l'on a coutume
d'appeler la "religion réformée". Mais on a tendance
à oublier que le christianime est issu du judaïsme dont les partisans
furent trés longtemps persécutés par les partisans de la
secte du problématique Jésus. Ce n'est d'ailleurs que très
récemment qu'ils semblent s'unir contre le troisième larron Islam
pour faire oublier l'antisémitisme chrétien, en accussant ces derniers
d'être les persécuteurs des autres et plus spécialement des
juifs. Or il est vraiment très facile de démontrer que seul l' Islam
tolère les deux autres dans sa constitution même qui est Le Coran
"A vous votre religion, à moi la mienne". Et il est facile de
démontrer que ce ne sont pas les musulmans qui brûlaient vifs les
juifs d'Andalousie dont les survivants vinrent prospérer du côte
de Fès. Mais pourquoi cette haine si violemment exprimée maintenant
dans cette union sacrée judéo-chétienne? On peut sans doute
expliquer cela pour des raisons purement coloniales et arroser d'un peu de pétrole
anglo-américain. On peut aussi constater que les conquêtes les plus
sanglantes sont chrétiennes et n'ont jamais eu d'autre but qu'économiques
et les juifs n'ont jamais été contre les profits économiques
dans le sillage des autres. Pour en revenir à cette haine judéo-chrétienne
envers l'Islam , que même les athées veulent séparer des deux
autres, voire même séparer les trois et même séparer
leurs diverses variations en parlant Religions (au pluriel) il faudrait pour commencer
partir de leur origine commune : l'invention du monothéisme par un pharaon
égyptien Akhénaton, plus connu sous le nom d'Abraham, exilé
dans ces lieux d'origine de tous les malheurs du Monde qu'est le Moyen-Orient. Ceci
reconnu, connaître la légende abrahamique ( Il ne faut pas nier l'intérêt
des légendes qui , quoiqu'emberlificotées dans les broderies magiques
ont toujours une base véridique), la légende d'Akhénaton-Abraham,
fondateur de la religion abrahamiste dont la base fondamentale est "LA SOUMISSION
A UN DIEU UNIQUE" , c'est plus facile d'obéir à un seul qu'à
plusieurs, et par suite, la soumission à tout ce qui représente
l'autorité, le flic, le colonel, le patron , le curé, le rabin,
l'imam etc."Obéis ou je te colle une baffe! - Oui Papa! " L'obéissance
fait la force principale des armées " Va au casse pipes connard, tu
auras droit a ton nom pour l'éternité sur le monument aux morts
de ton bled" - Oui mon Général j'y cours!" N'écartez
pas la fable de l'agneau sacrifié, substitué au dernier moment au
fils chéri ordonné par Dieu pour le sacrifice. C'est le symbole
même de la soumission. Or les trois sectes fondamentales de l'Abrahamime
font toutes références à la même loi de l'obéissance
Et ce qui les distingue n'est que l'accessoire des obligations dogmatiques propres
à leur secte pour l'adoration du Dieu unique. (Il est vrai que les chrétiens
ont prospéré en revenant aux dieux et déesses multiples,
nécessaires aux superstitions populaires, et même détrönéle
Dieu Unique en lui inventant un fils). Ce qui les distingue n'est en somme
que la prédominance qu'un groupe voudrait prendre sur l'autre et quoiqu'ils
en disent pour des raisons bassement économiques. Mais, je le répète,
c'est la même philosophie, c'est la même adoration du père
fondateur Abraham. Reste à comprendre la dernière venue, la religion
de l'islam, qui veut bien dire ce que son titre veut dire : Islam = Soumission.
On peut revenir sur les détails, mais il faut d'abord avoir en tête
la légende juive qui est leur référence à tous. Abraham
a une épouse Sarah qui est stérile malgré toutes ses prières
à l'Eternel. Comme les habitudes du moment le permettent, elle va chercher
une jeune esclave, Ahagar, qu'elle met dans le lit du mari avec pour fonction
de lui faire un héritier. L'héritier arrive, on l'appelle Ismaël.
Tout va bien jusqu'au moment où l'Eternel rigolo décide de
faire une farce en mettant fin à la stérilité de l'épouse
numéro un Sarah, qui accouche d'un garçon que l'on baptise Isaac.
Normalement, par les lois de l'époque dans ce pays, l'héritier légitime
reste le premier fils Ismaël. Mais Sarah, qui a de l'influence dans le ménage
va changer la Loi au profit de son rejeton et elle impose à Abraham ( qui
a déjà du goût pour l'obéissance) d'exiler Ahagar la
seconde épouse et son fils Ismael au fn fond du désert, là
ou on meurt de soif. Et justement Ismael et sa Maman sont en train de mourir de
soif quand l'autre rigolo qui est au ciel, comme on vous l'a appris, fait jaillir
une source à leurs pieds - Les musulmans vénèrent cette source
à proximité de La Mecque qu'ils appellent Zemzem- Débarrassé
de la concurence, Isaac est en route pour son destin juif avec cet épisode
d'où il réchappe de justesse : L'Eternel patron, qui veut sans doute
voir jusqu'où va la lâche soumission de son protégé
Abraham lui donne l'ordre de couper le cou de l'héritier. On connait la
suite. Pendant ce temps on oublie le survivant et les juifs et les chrétiens
descendants d'Isaac prospèrent en se bouffant le nez. Mais un individu
de génie, Muhammad (pas Mahomet), plus proche de nous par quelque 700 ans
après le pseudo crucifié, a tout de même plus de références
historiques ; il décide de réorganiser la société
marchande de son pays et, se disant inspiré par Dieu, dans ses rêves,
établit une véritable constitution sociale appelée Coran
et, entre autres inventions de génie, car c'est un génie, décide
que tous les Arabes sont les descendants d'Ismael, l'héritier légitime,
injustement dépossédé par Isaac. Maintenant vous comprenez
la différence? Abraham et deux directions: Isaac et les judéo-chrétiens
- Ismael et les musulmans. Reste
à comprendre pourquoi 90% de l'humanité a besoin de croire à
la nécessité des prières à diverses divinités.
C'est que l'humanité historique vient seulement d'apparaître sur
cette terre vieille de cinq milliards d'années. Cinq cent mille ans pour
sortir de l'animalité, presque autant pour acquérir l'usage de l'outil,
quatre mille pour se faire exploiter par les philosophies religieuses, deux mille
de christianisme, mille trois cent d'islam, et deux mille ans d'accumulation de
cadavres au nom de Dieu *. Et des gens qui refusent les dieux, mais qui regardent
leur horoscope dans le journal du matin. Il reste un espoir, celui de trouver
quelque part dans l'espace une planète sans dieu, à coloniser. Athées,
cassez vos tirelires on va acheter une fusée. Robert
Letan Contacter
Robert Letan Haut
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LIBÉRER
LE SPIRITUEL DU RELIGIEUX
(19 - 09 - 2002)
André
Monjardet, écrivain sociologue | | |
Manifeste
pour une sortie des religions Ce
que n'avait pas réussi à faire le monothéisme religieux,
conquérir le monde, le monothéisme profane est en train de le réaliser.
Le dieu argent régente aujourd'hui le monde entier et tient sous son
implacable férule la quasi totalité des êtres humains.
Ses grands prêtres dictent leur loi à l'ensemble des nations. Ils
en ont eux-mêmes inventé les termes et s'appliquent à faire
en sorte qu'ils soient respectés partout. Sous peine d'exclusion de la
communauté humaine, nationale et mondiale. La "loi du Marché"
repose essentiellement sur le droit du plus fort d'écraser le plus faible.
Ne pas s'y soumettre ou la transgresser équivaut à s'isoler de la
société et se voir condamner par elle. C'est ainsi, par exemple,
que tout service doit aujourd'hui passer par le moule de la monétarisation
sous peine d'être jugé et condamné par les tribunaux pour
concurrence déloyale. La gratuité est partout suspecte! Cette
"loi du Marché" n'est en réalité que la traduction
policée de la "loi de la jungle". Mais avec une différence
de taille: celui qui ne veut pas tuer et voudrait simplement vivre en paix avec
lui-même et avec les autres ne peut pas fuir. Il est cerné de tous
côtés par la monnaie et se voit obligé de passer sous les
fourches caudines de la production ou de l'assistanat. Nouvel esclave de la course
au profit, il est prisonnier de l'arène mondiale où se joue le drame
de "l'horreur économique". Le plus souvent il s'y fait dévorer,
très rarement il s'en échappe. C'est que le rapport de forces
est inégal. D'un côté, il y a la puissance anonyme et
aveugle qui décide souverainement en fonction de critères de rentabilité
exclusivement capitalistiques, économiques et de plus en plus seulement
financiers. De l'autre, il y a des êtres de chair et de sang qui subissent
. Quelle
est l'attitude des croyants face à une telle situation? Devant l'urgence
d'une situation qui voit depuis quelques années s'accélérer
la destruction de la planète et la dégradation des conditions d'existence
d'une grande majorité des êtres humains, au Nord comme au Sud, on
peut s'interroger sur le sens des combats que mènent encore certains croyants
au sein de leurs religions respectives. Ils disent vouloir de rendre celles-ci
plus conformes à leurs origines, plus ouvertes au monde moderne pour les
uns, plus respectueuses des traditions pour les autres. Or si par exemple,
pour les chrétiens l'amour du prochain doit constituer l'alpha et l'oméga
de leur religion, on ne voit pas très bien en quoi la réforme ou
au contraire la consolidation d'institutions ecclésiastiques soient très
utiles pour mener à bien cette révolution mondiale de l'amour dont
ils se disent les éternels messagers. En fait, c'est toujours à
cause de divergences intellectuelles, doctrinales ou disciplinaires entre clercs
que sont nés les conflits ou les incompréhensions entre les croyants.
Que par ailleurs les différentes religions, nées au fil des
siècles dans différents pays, soient entrées en concurrence
en venant au contact les unes des autres, que des scissions et des séparations
aient pu se former au sein d'une même religion, on peut le comprendre en
des époques où ne s'était pas encore pleinement révélé
à la conscience des hommes le fait d'appartenir à une même
humanité confrontée à une seule et même angoissante
question: quel avenir demain pour l'Homme sur la terre? Mais ces oppositions ont-elles
encore une sens au sein du village planétaire qu'est devenue la Terre?
Oui, c'est peu dire que le monde a besoin d'un sursaut spirituel et que les
êtres humains sont assoiffés de "sens". Mais dans une monde
où la mondialisation d'une pensée unique a enfermé les hommes
dans le cercle vicieux d'une économie entièrement dévouée
au Dieu Argent, ce nouveau Dieu unique auquel tout un chacun doit se soumettre,
on peut légitimement se demander si la première urgence pour les
croyants de toutes les religions n'est pas d'abord de s'unir par delà leurs
Eglises en vue de créer un sursaut mondial face à un libéralisme
matérialiste croissant qui envahit le monde et écrase les hommes.
Tous les fondateurs de toutes les religions n'eurent-ils pas une commune ambition:
promouvoir l'amour universel et faire en sorte que cet amour soit d'abord vécu
personnellement par chacun? Car, comment changer le monde sans commencer par changer
soi-même. De fait, tous les fondateurs de toutes les religions, Bouddha
comme Jésus, ont mis personnellement en pratique ce qu'ils enseignaient.
Ils faisaient ce qu'ils disaient. Quant aux différentes voies conseillées
pour arriver à vivre cet amour, elles purent varier d'une culture à
l'autre, d'une tradition à l'autre, d'un engouement à l'autre. Mais
chacune a toujours impliqué un engagement personnel concret, les diverses
croyances, rites, dogmes, rituels n'étant là que pour inciter le
croyant à mieux mettre en oeuvre l'altruisme par la tolérance, l'entraide,
la paix... C'est
dire que toutes les religions ont poursuivi théoriquement un seul et même
but, qu'on le nomme fraternité, compassion ou amour universel. On sait
malheureusement que, pour l'atteindre, les institutions religieuses ont été
loin de compte! Combien d'hommes et de femmes ont été massacrés
au nom de la divinité!... Et combien n'ont vu dans la religion qu'un remède
à leurs angoisses et qu'un moyen d'évasion de leurs responsbilités! Encore
aujourd'hui, forts de leurs certitudes et jaloux de leurs pouvoirs, les hiérarques
de toute obédience religieuse s'estiment les seuls garants authentiques
et les gardiens patentés de convictions présentées par eux
comme les seules vraies réponses aux éternelles questions des hommes.
Ils n'en dénonceront que plus vigoureusement le dangereux syncrétisme
qui ferait écho à tout appel lancé par dessus leurs têtes
en vue d'instituer le mouvement de solidarité universelle dont le monde
a aujourd'hui besoin. Plus probablement, ils ne manqueront pas de railler le caractère
utopique d'une entreprise qui impliquerait leur disparition. "Une conviction
religieuse ne peut vivre sans un "contenu intellectuel" ni sans une
"communauté de croyants", diront-ils. La foi n'est pas pur altruisme,
elle ne se réduit pas un vague sentiment laissé à l'initiative
de chaque individu. Elle doit être structurée socialement et intellectuellement,"
diront les clercs de toutes les religions. On
peut seulement se demander si le "contenu intellectuel" et la "communauté
de croyants", tels qu'ils se présentent encore actuellement dans les
religions, ont aujourd'hui quelqu'impact dans la construction d'un monde plus
fraternel et plus juste. Quel est en effet aujourd'hui le "contenu intellectuel"
de l'amour universel, quelle forme prend-elle concrètement, socialement,
politiquement? Quelle est la "communauté de croyants" qu'attendent
les hommes pour retrouver l'espérance? Ne serait-ce pas l'analyse
lucide et rationnelle de l'état actuel de la planète et des peuples
qui l'habitent? Ne serait-ce pas le rassemblement structuré de ceux qui,
devant les conclusions de cette analyse, se décideraient à inverser
l'actuel courant d'une pensée unique meurtrière et aveugle? Ne serait-ce
pas la croyance en l'Homme? Pour la "plus grande gloire de Dieu"?!
- Oui, pourquoi pas, si cela peut faire plaisir à ceux qui croient en Dieu!
A condition de se rappeler que la "plus grande gloire de Dieu, c'est que
l'homme vive"! N'est-il pas grand temps pour tous les croyants, ceux
qui croient en Dieu et ceux qui croient tout simplement en l'Homme, de quitter
leurs chapelles et leurs certitudes doctrinale? Une
telle révolution ne peut pas venir des clercs, eux qui ont fait de la religion
leur fonds de commerce et leur moyen de subsistance. Que tous les laïcs de
toutes les religions sortent enfin des sentiers battus de leurs institutions moribondes!
Qu'ils prennent le large et inventent cette nouvelle religion de l'Homme, celle
dont l'humanité a aujourd'hui besoin, celle de la fraternité universelle!
Qu'ils laissent les morts enterrer les morts! "On ne met pas du vin nouveau
dans de vieilles outres!" Les religions surnaturalistes ont sans doute
constitué des étapes dans l'histoire de l'humanité vers l'âge
adulte, l'âge de la rencontre, du partage et du don. Elles sont devenues
aujourd'hui des obstacles à l'édification d'une humanité
plus responsable et plus solidaire. Sans
illusion! Car d'une part, on sait que le changement commence d'abord en chacun
de ses acteurs. Et d'autre part, ces nouveaux croyants de cette nouvelle "religion
de l'Homme" construiront sans doute à leur tour de nouvelles institutions
dont de nouveaux clercs seront de nouveau tentés de dire à tous
le vrai de tout... Mais peut-être feront-ils au moins franchir à
l'humanité une nouvelle étape sur la voie de la réconciliation
entre le spirituel et le politique, entre l'esprit et la matière, entre
le dire et le faire, entre le vivant et son environnement naturel et... lui éviteront-ils
de s'anéantir! L'humanité
est en devenir. Pour la première fois de son histoire, elle se trouve affrontée
au gigantesque défi de sa propre survie. Dépassant les clivages
religieux d'un autre âge, n'est-il pas temps pour tous "les hommes
de bonne volonté" d'unir leurs efforts pour inverser la course mortelle
dans laquelle l'a jeté la nouvelle religion de l'Argent? André
MONJARDET
auteur d'une "Autobiographie de Jésus de Nazareth" éd.
BERG INTERNATIONAL 1996 email:
andre.monjardet@wanadoo.fr Haut
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Doit-on
être tolérant avec l'intolérance ? (02
- 10 - 2002)
TeD
- Associé FABULA - Paru dans le journal 24 heures | |
| Notre
société occidentale, humaniste et laïque, prône la tolérance,
les Droits de l'Homme, le " politiquement correct ", et a instauré
des lois pour combattre le racisme. Si, sur le fond, on ne peut qu'être
d'accord avec ces grands principes, qu'en est-il en réalité ? A
l'heure actuelle, nous devons faire face à la montée de l'intégrisme
islamique et sa volonté expansionniste, mais nous sommes désarmés.
En effet, ce sont nos propres valeurs susmentionnées qui nous piègent. Car
regardons les choses en face : les représentants des minorités islamiques
établies en Europe, qui sont souvent, mais pas toujours heureusement, des
imams à la solde de groupes islamistes ou de diverses théocraties,
demandent la construction de mosquées ou de centres islamiques, des "
carrés musulmans " dans les cimetières, sans parler de la récente
polémique au sujet de l'abattage rituel du bétail de boucherie.
Mais nous ne sommes assurés d'aucune réciprocité. En effet,
si vous allez en Arabie Saoudite par exemple, vous n'avez pas le droit de parler
de la foi chrétienne, n'avez bien évidemment pas le droit de la
pratiquer ou de montrer un quelconque signe d'appartenance autre que musulmane,
et de plus il est évident que la construction d'une simple chapelle, pour
ne pas parler d'une église ou d'un temple quelconque, y est totalement
interdite. Bien évidemment, tout prosélytisme religieux autre que
musulman y est strictement prohibé, et durement réprimé.
Vous y risquez même la peine de mort si vous êtes un apostat, c'est-à-dire
si vous reniez l'Islam pour embrasser une autre religion, ou, encore plus grave
aux yeux de leurs autorités, pour devenir athée. N'est-il
pas piquant de constater qu'à l'heure actuelle, la majorité des
conflits qui ensanglantent notre planète se produisent dans les zones situées
sur le pourtour du monde islamique, là où ce dernier se trouve au
contact d'autres croyances que l'Islam entend supplanter ? A titre d'exemple,
regardez ce qui est arrivé ces derniers jours aux Philippines à
des Témoins de Jéhovah : ils ont été enlevés,
puis décapités. C'est donc ça, la tolérance de l'Islam
? Il ne s'agit pourtant que de l'application littérale de versets du saint
Coran datant d'il y a plus de mille ans
A l'opposé de ça,
nous connaissons en Europe de trop nombreuses polémiques au sujet du port
du foulard islamique dans les écoles, qui sont pourtant censées
être laïques. Bien
entendu, il est inutile d'évoquer la laïcisation de la société
en terre d'Islam : cette notion y est totalement inconnue, et exclue par le Coran
lui-même, puisqu'il est réputé être d'essence divine.
Pourtant, des gens courageux se battent pacifiquement, à leur manière,
pour faire évoluer les choses ; mais ils sont malheureusement trop peu
nombreux, et courent des risques énormes, y compris pour leur propre vie. Aux
yeux du vrai croyant vivant en Europe, le Coran, dans lequel l'adage " ce
qui est bon pour moi n'est pas bon pour toi " puise tout son sens, est au-dessus
de la loi civile du pays où il réside ; pourtant cette loi a été
adoptée par la voie de la démocratie
En Italie par exemple,
des représentants islamiques ont même été jusqu'à
exercer des pressions pour faire supprimer (doux euphémisme pour dire détruire)
la fresque médiévale " Le Jugement dernier " de la Cathédrale
de Bologne, ou pour faire retirer de l'enseignement scolaire la " Divine
Comédie " de Dante Alighieri, car ces uvres n'avaient pas l'heur
de leur plaire. A quand l'autodafé ? Les
seuls pays musulmans à connaître une certaine laïcité
sont l'Irak et la Lybie. Or, ce sont justement ces pays que l'Occident s'obstine
à vouloir détruire
ce même Occident qui n'hésite
pas à pactiser avec les théocraties pétrolières arriérées
du Golfe Persique ! ! ! De
plus, aucun pays musulman ne veut entendre parler de la Déclaration Universelle
des Droits de l'Homme, en raison des articles 4 (relatif à l'esclavage,
problème pudiquement occulté dans certains pays du Golfe, avec la
bienveillante complicité d'un Occident bizarrement silencieux à
ce sujet), 7 (égalité devant la loi, que le Coran ne respecte pas
pour les " Dhimmis ", c'est-à-dire les juifs ou chrétiens
vivant en terre d'Islam et qui sont soumis à des statuts qui en font des
citoyens de seconde zone : regardez ce qui arrive aux coptes en Egypte) , et surtout
16 (relatif à la liberté de mariage) et 18 (relatif à la
liberté de culte). Dite Déclaration Universelle y est considérée
comme une ingérence de l'Occident véhiculant des valeurs estimées
dangereuses. Par contre, l'Islam militant sait se prévaloir de ces valeurs
tant honnies quand il s'agit de s'imposer dans nos sociétés libérales
et de les gangrener. Nous sommes à ses yeux l'ennemi à convertir
ou à détruire. Pour ceux qui en doutent encore, je conseille la
lecture du Coran lui-même, où de nombreux versets décrivent
le sort à réserver aux infidèles que nous sommes, et croyez-moi
: ce sort n'est pas enviable, et c'est ce même Coran qui le dit ! ! ! De
même, de nombreux versets y décrivent la récompense réservées
aux martyrs morts dans le Jihad, ce dernier consistant très clairement
à détruire tout ce qui n'est pas dans la ligne d'un Islam puritain
et arriéré. Mais n'oublions pas une chose : les premières
victimes de l'Islam sont les musulmans eux-mêmes, lobotomisés dès
leur plus jeune âge par une religion totalement sectaire, pour ne pas dire
raciste, violente et impérialiste. Alors
c'est avec ceci que nous devons être tolérants ? C'est cette intolérance
que nous devons petit à petit laisser s'imposer et supplanter les valeurs
que nous prônons ? Le jour où se sera créé en Europe
un parti politique islamiste n'est pas si éloigné que ça,
et le jour où suffisamment de gens le soutiendront, il sera trop tard.
Mais ce jour approche à grand pas. Regardez ce qui se passe en France,
où de nombreuses " zones de non-droit " existent. On devrait
plutôt les appeler " zones d'islamisation prioritaire "
L'Europe
est en train de se suicider petit à petit à cause de son sentiment
de culpabilité post-coloniale, et ses dirigeants ne font rien pour y remédier,
corrompus qu'ils sont par les pétrodollars. Il faut reconnaître que
la démographie y est aussi pour beaucoup. N'est-ce pas le président
Boumediene qui a dit " le ventre fécond de nos femmes nous permettra
de conquérir l'Europe puis le monde " ? Alors,
la tolérance, oui. Mais ne laissons pas l'intolérance prendre le
dessus. Et entendons-nous bien : ce n'est pas le musulman lambda que je critique,
mais les valeurs intolérantes véhiculées par l'Islam lui-même
dont il est la première victime. TeD Haut
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Dialogues
avec un "INITIÉ" (poil au nez) (09 - 10 - 2002)
Dialogue
entre un correspondant "ésotérique" (poil à la
b...) et notre collaboratrice Sûryâ | |
| Nous
publions exceptionnellement dans ce chapitre les correspondances e-mail les plus
amusantes ou remarquables que nous ayons eues, ainsi que le courrier des lecteurs
et des membres. Celle-ci est particulièrement truculente, entre notre collaboratrice
Sûryâ et Zoran, auteur du livre " Les Révélations
de Seth ". Obscurantisme, ésotérisme et ignorance sont les
épices pour une bonne " Soupe de gourou et dérives sectaires"
Les pseudo-sciences nous guettent au coin de la rue... ZORAN
écrit : Je salut votre courage. Mon combat
ressemble un peu au votre. J'ai dénoncé les crime de l'église,
mais plus encore j'ai apporté des preuves qui démontre que les idéologies
judéo-chrétiens sont nocives aussi bien au niveau que mental que
sociale et autre. La révélation de Seth (un livre que j'ai écrit)
est un antidote définitif contre le poison du judéo-christianisme
à jamais. je serai ravis si vous ajoutez ma bannière (en .swf, si
vous préférez en .jpg dites le moi) quelque part dans votre site,
et j'en ferai autant avec plaisir. Cordialement, Zoran (voici
l'adresse http://www.zoran.2mogi.net ) Mon e-mail : ZoranMordock@aol.com
Réponse de
la rédaction : Hello, L'image en swf non, mais en jpg ou gif c'est
sans problème. Je suis allée faire un tour sur votre site mais
les pages ne s'ouvrent pas sauf une ou 2... Alors je n'ai pas vraiment pu me rendre
compte de votre révélation... Vous n'auriez pas un petit résumé
à m'envoyer sur les points essentiels ? Salutations ZORAN
écrit : Bonjour, il y a seulement 3 pages
qui ne sont pas encore opérative, tout le restes est bon ! essayer avec
cette adresse ; http://membres.lycos.fr/zoranmordock/ concernant le résumé
il est difficile de résumer 600 pages ! Mais en gros la révélation
de Seth, condamne de façon historique, idéologique, politique et
même sociale les irréparables dégâts causés par
les cultes dites Jéhoviques et patriarcaux. Vous avez la table des matières
en ; Révélation de Seth, livre. vous avez ma bannière
en gif. (fichier joint). Bon courage . . . Réponse
de la rédaction : Oui, j'ai lu maintenant, Intéressant.
Mais au moins une (grande) partie de ces manuscrits de Nag hammadi sont disponibles,
non ? Et traduits à peu près correctement... ou fais-je erreur ?
Que doit penser de tout ceci une athée rationaliste qui ne croit ni en
Dieu ni dans la magie? Amicalement, Surya ZORAN
écrit : Nous
ne croyons en rient du tout, nous sommes des expérimentateurs, la magie
est une science, sa traite de l'énergie des ondes et de l'électromagnétisme
(2000 ans avant jc les babyloniens connaissaient l'électricité "le
pile de Bagdad"). Je suis beaucoup plus athée et rationaliste que
vous pouvez jamais l'imaginer, mais je connais le pouvoir de l'esprit et j'ai
vu des choses, et je sais également que si vous êtes aussi rationaliste
que moi vous ne croirez personne tant que vous ne les aurez pas vu et expérimenté
comme moi. en ce qui concerne les textes de Nag Hammadi, ils ne sont disponibles
(en France) qu'à Paris à "La procure" à des prix
excessif. Je n'ai pas le temps de convaincre des rationalistes endurcis, nous
avons un seul point en commun, nous détenons tout les 2 la preuve que Jésus
n'a jamais existé, si cela ne vous suffit pas nous avons plus rien à
nous dire. Zoran Réponse
de la rédaction : Du
calme, voyons !! Je n'ai fait que poser une simple question ! L'énergie
et l'électricité sont des données physiques, non? Ce n'est
pas exactement ce qu'on appelle la magie... Vous avez raison d'affirmer que
je ne croirai pas avant d'avoir vu, ou testé... C'est ce qu'on appelle
être rationaliste - très précisément. Mais je ne détiens
rien du tout, croyez-moi
Je suis médecin et je crois aussi au
pouvoir de l'esprit, mais pas sur la matière, et c'est sans doute la différence
entre l'esprit dont je parle et celui dont traite la magie. Ceci dit, si
vous n'avez que le temps de vous exciter, je vous retourne le compliment car je
suis une fille bien élevée (et ce n'est pas moi qui ai fait la démarche
de vous contacter). Vous avez des preuves de l'inexistence de Jésus,
autres que les " nôtres " ? Fort bien. Vous savez sans doute que
nous sommes en procès contre l'Eglise depuis peu, pour ce point justement.
C'est un lien vers votre site que vous désirez? C'est tout? Vous
l'aurez... Amicalement, Surya ZORAN
écrit : Qu'entendez
vous par la matière ? La matière n'est-il pas juste une fréquence
condensé d'onde ? ne sommes nous pas entrain de parler d'onde, d'énergie
et de fréquence ? alors ? ne connaissez vous pas le phénomène
qu'on appel le sont qui tue ? n'avais vous jamais vus des moines Shaoline briser
des vers par des haut fréquence de leurs voies ? voici une exemple simple
de "l'esprit "qui agit sur la "matière" ! vous en voulez
d'autre ? g'en ais tout une archive ! Notre univers est beaucoup plus insaisissable
pour que le simple fait de ce donner un titre "rationaliste", "magiste"
ou que sais j' encore puisse nous donnez l'illusion d'en avoir saisie la certitude
de quelque chose. J'apprécie le combat que vous menez contre l'Église,
que vous soyez une rationaliste ou tout ce que vous voulez je respecte les gens
intelligents et plain de conviction. Merci de votre attention (et pour le lien)
(désolé si je vous est donnez l'impression de m'être emporté)
. Zoran Réponse
de la rédaction : C'est vrai que la dualité matière-énergie
est une réalité de physique quantique ou thermodynamique, j'en sais
trop rien. Mais votre histoire sur les Shao-lin, laissez-moi rire s'il-vous-plait.
Vous les avez vus ces Shao-lin, ils passent souvent dans les Tv-shows de variétés
de mon pays. Briser des verres par la voix est un phénomène
connu... C'est la fréquence de résonance qui provoque cela... Cette
même fréquence, maintenue par la voix soutenue d'une cantatrice d'opéra
arrivera à faire éclater un verre adéquat. Ce phénomène
n'a rien à voir avec l'esprit, VOUS ETES ABSOLUMENT RIDICULE. Et comme
je sais maintenant que vous n'avez strictement rien de différent avec les
vendeurs de miracles, de christs ressuscités et de prophètes coupeurs
de têtes, je vous conseille plutôt d'aller rejoindre leurs rangs !
On en reste là car moi je ne vous admire pas. Vos convictions ne sont
que croyances et ignorance... Surya ZORAN
écrit : ils
étaient la ses Shaolins, ( a Paris) il y a 1 mois, il faut ouvrir ses yeux.
mais si t'a des couilles (j'en doute fort !) je ferais tourner un cylindre de
papier par la seul force de mon magnétisme dans n'importe quel condition
que tu voudras !!!! ho ho ho et t'a science à la cons, tu peut la mettre
ou je pense pauvre pétas . . . et en ce qui concerne mon rand tu peut encore
courir toute t'a misère de vie de rationaliste avant d'en arriver la !
et ne me parle plus de politésse ! Réponse
de la rédaction : J'aimerais
bien voir ça ! Ton pouvoir magnétique mesmérique ne te servira
guère qu'à te torcher le cul avec un cylindre. Et voilà qu'il
parle de mes couilles le prestidigitateur ! " Ton rand" ???? C'est
quoi cette maladie dont tu souffres? L'abstinence sexuelle ou la mégalomanie?
Ha non, j'ai oublié : tu es un homme et moi une femme. Comment ai-je osé
te dire que tu es un connard d'escroc, moi qui suis une créature inférieure?
(Morte de rire) ZORAN
écrit : Du calme pauvre put ! tous
ca c'est du bla, bla, comme j'ai dit si t'a des couilles (et combien tu n'en n'aura
jamais) tu te présente et tu mate ce que j'ai a te montrer puis tu ferme
ta put de gueule et tu te cas la d'où tu sort, la prochaine fois que tu
répond c'est, soi, le rendez-vous, soi t'est une dégonfler de put
comme je le pense ! ah tien, au faite, j'ai oublier, comme tu la bien remarqué
t'est bien une créature inférieure . . . ha ha hahahahahahéhéhéé
Réponse
de la rédaction : Merci,
merci. C'est tout ce que j'attendais ! Maintenant tu vas l'avoir ton lien,
ainsi qu'un article spécial sur toi. Avec les détails de notre échange
de courrier. Ainsi, tous les athées qui nous lisent verront qui tu es vraiment.
Et rassure-toi, on est lus avec beaucoup d'intérêt par tout le monde,
cela ne cessera d'augmenter. Ce sera une superbe publicité pour ton
torchon, et 100 % gratuite. Bye ZORAN
écrit : Ah j'ai oublier ; mon torchon
tu l'a eu dans le cul . . . Réponse
de la rédaction : Hé
bien non, je n'ai rien eu dans le cul, mais toi tu l'as eu dans la gueule.
Hé bien non, je n'ai pas de couilles, j'ai des ovaires à la place,
espèce d'analphabète. ZORAN
écrit : Je
croyez que t'était "une fille" bien élevée !!!
espèce de 4a dit clitoris, t'a de quoi être fière en effet,
en tout cas t'a pas de couilles c'est l'essenciel ! Réponse
de la rédaction : Tiens
donc, le grand manitou Zoran découvre aujourd'hui que les filles n'ont
ni couilles ni pénis mais un clitoris et des ovaires. Et il prétend
détenir le grand secret de l'humanité ? Mais quel Charlot ! ZORAN
écrit : (censuré) (
Bravo Sûryâ,
tu as vraiment la classe pour te faire des amis, et quelle subtile diplomate tu
es. Et quel vocabulaire de princesse ! ) Ndlr Haut
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