Les
origines du Christianisme et la recherche du Jésus-Christ historique
par
Acharya S Introduction Dans
le monde au cours des siècles passés, on a beaucoup écrit
au sujet de la religion, de sa signification, de sa pertinence et de sa contribution
à l'humanité. En Europe occidentale en particulier, de nombreux
volumes ont été composés qui spéculent sur la nature
et l'historicité du personnage principal des religions occidentales, Jésus-Christ.
Beaucoup de gens ont essayé de creuser dans les rares indices restants
relatifs à l'identité de Jésus et de proposer un croquis
biographique qui soit soutient la foi, ou alors révèle le côté
plus humain de cet homme-dieu qui nous est si proche. Évidemment, vu le
temps et l'énergie dépensés à leur sujet, le christianisme
et son fondateur légendaire sont très importants pour l'esprit et
la culture occidentaux.
La
Polémique En
dépit de toute cette littérature produite sans interruption et de
l'importance du sujet, il y a chez le public un sérieux manque d'éducation
formelle et étendue concernant la religion et la mythologie, et la plupart
des individus sont terriblement mal informés à ce sujet. En ce qui
concerne le christianisme, par exemple, on enseigne à la majorité
des personnes, dans la plupart des écoles et églises que Jésus-Christ
était une figure historique et réelle, et que la seule polémique
le concernant est que certains le perçoivent en tant que fils de Dieu et
Messie, alors que d'autres non. Cependant, bien que ce soit le débat le
plus évident dans ce domaine aujourd'hui, il n'est pas le plus important.
Aussi choquant que cela puisse paraître à l'homme de la rue, la
polémique la plus profonde et durable à ce sujet est de savoir si
un individu appelé Jésus-Christ a réellement existé.
Bien que cette controverse puisse ne pas être évidente au vu
des publications habituellement disponibles dans les librairies populaires 1
, quand on examine cette question de manière plus approfondie, on trouve
un énorme volume de littérature qui démontre à maintes
reprises, logiquement et intelligemment, que Jésus-Christ est un personnage
mythologique au même titre que les hommes-dieux grecs, romains, égyptiens,
sumériens, phéniciens ou indiens, qui sont tous actuellement perçus
comme des mythes plutôt que comme des personnages historiques 2.
En fouillant plus avant dans cette grande quantité de documents, on peut
découvrir les preuves que le personnage de Jésus est basé
sur des mythes et des héros beaucoup plus anciens du monde antique. On
s'aperçoit alors que cette histoire n'est pas une représentation
historique d'un charpentier rebelle juif qui s'incarna physiquement dans le Levant
il y a 2.000 ans. Autrement dit, on a démontré continuellement pendant
des siècles que le personnage de Jésus-Christ, a été
inventé et ne dépeint pas une vraie personne qui soit aurait été
le fils de Dieu, ou qui aurait ensuite été transformée en
un surhomme par ses disciples enthousiastes 3. Historique
et position de la discussion
Cette polémique a existé dès le début, et les écrits
des "Pères de l'église" eux-mêmes indiquent qu'ils
ont constamment été forcés par l'intelligentsia "païenne"
à défendre ce que les non-chrétiens considéraient
comme une fable absurde et fabriquée sans aucune preuve d'existence historique.
Comme le signale le rév. Taylor : De façon ininterrompue depuis
les temps apostoliques, mais jamais de façon si forte et emphatique que
lors des tout débuts, l'existence du Christ en temps que personne fut vigoureusement
niée. L'empereur Julien, qui succéda au "bon chrétien"
Constantin, un fanatique meurtrier, autorisa de nouveau les cultes païens,
et affirma : Si quelqu'un veut savoir la vérité en ce qui vous concerne,
Chrétiens, il saura que votre impiété est partiellement constituée
de l'audace juive, et aussi de l'indifférence et du sens de la confusion
des Gentils, et que vous avez mélangé non pas leurs meilleures,
mais leurs pires caractéristiques. Selon ces dissidents, le nouveau testament
aurait pu correctement s'appeler les "fictions d'Évangile." 4
Il y a un siècle, le mythologue Albert Churchward a dit : "On peut
montrer que les évangiles canoniques sont une collection d'énonciations
du Mythos et de l'Eschatologie égyptiens." 5
Dans La contrefaçon dans le christianisme, Joseph Wheless dit
: "Les évangiles sont tous des contrefaçons sacerdotales rédigées
plus d'un siècle après leurs prétendues dates." 6 Ceux
qui ont inventé certains des évangiles et des épîtres
"alternatifs" qui furent écrits approximativement pendant les
deux premiers siècles après J-C. 7
ont même admis qu'ils avaient forgé les documents. La contrefaçon
pendant les premiers siècles de l'existence de l'église était
manifestement effrénée, si commune en fait qu'une nouvelle expression
a été inventée pour la décrire: "fraude pieuse."
8 Une
telle tromperie est fréquemment admise dans L'Encyclopédie Catholique
9. Certains
des "grands" pères de l'église, tel Eusebius, ont été
reconnus par leurs propres pairs comme étant d'incroyables menteurs qui
ont régulièrement écrit leurs propres fictions sur ce que
"le seigneur" avait dit et fait pendant "son" séjour
allégué sur la Terre 10. Premiers
indices L'affirmation
que Jésus-Christ est un mythe peut être démontrée non
seulement par les travaux des dissidents et des "païens" qui ont
su la vérité - et qui ont été perfidement réfutés
ou assassinés dans leur combat contre les prêtres chrétiens
et les "pères de l'église," qui dupaient les masses avec
leurs fictions - mais également par les énoncés des chrétiens
eux-mêmes, qui révèlent sans interruption qu'ils ont su que
le Christ était un mythe fondé sur des dieux plus anciens situés
dans tout le monde antique connu. De fait, le pape Léon X, qui connaissait
la vérité en raison de son rang élevé, fit cette déclaration
curieuse, "Quel bénéfice cette fable du Christ ne nous a-t-elle
pas apporté !" 11
. Comme le dit Wheless : "les preuves à l'appui de ma thèse
sont incroyablement faciles à trouver." Les
Gnostiques De
leur propre aveu, les premiers chrétiens étaient incessamment critiqués
par d'autres érudits de grande réputation qui furent diffamés
en tant que "païens" par leurs adversaires chrétiens. Ce
groupe a inclut beaucoup de Gnostiques, qui se sont énergiquement opposés
à l'affirmation d'une manifestation physique de leur dieu. On peut montrer
que les chrétiens ont emprunté plusieurs des caractéristiques
de leur homme-dieu aux Gnostiques, ce qui signifie "Ceux qui savent,"
une désignation vague s'appliquant à diverses confréries
et écoles ésotériques. Les réfutations des chrétiens
contre les gnostiques indiquent que l'homme-dieu chrétien était
une insulte aux gnostiques, qui soutenaient que leur dieu ne pouvait prendre forme
humaine. Sources
Bibliques Il
est frappant de constater que les documents chrétiens les plus anciens,
les Epîtres attribués à "Paul," ne discutent jamais
de l'historique de Jésus mais traitent exclusivement d'un être spirituel
qui était connu à toutes les sectes gnostiques depuis des centaines
et des milliers d'années. On peut montrer que les quelques références
"historiques" à une vie réelle de Jésus citées
dans l'Epître sont des interpolations et des contrefaçons, comme
le sont, si l'on en croit Wheless, les épîtres eux-mêmes, qui
n'auraient donc pas été écrits par Paul. Comme Edouard Dujardin
le précise habilement, la littérature de Paul "ne se rapporte
pas à Pilate, ou aux Romains, ou à Caïphe, ou au Sanhédrin,
ou à Hérodes, ou à Judas, ou aux femmes saintes, ou à
aucune personne dans le récit évangélique de la Passion,
et ne leur fait jamais aucune allusion; pour finir, elle ne mentionne absolument
aucun des événements de la Passion, directement ou par allusion."
12 Dujardin
indique encore que d'autres écrits "chrétiens" les plus
anciens tels la Révélation ne mentionnent aucun détail ou
drame historiques 13.
Mangasarien indique que Paul ne cite jamais les prétendus sermons, prêches,
paraboles et prières de Jésus, et qu'il ne fait pas plus mention
de sa naissance surnaturelle et de ses prétendus merveilles et miracles,
en fait tout ce qui aurait semblé très important pour ses fidèles
si de tels exploits et paroles avaient été connu antérieurement
à Paul. Si l'on s'intéresse maintenant aux Evangiles, qui furent
écrits vers le milieu du 2° siècle C.E., leurs prétendus
auteurs, les apôtres, donnent des récits de Jésus et de sa
généalogie qui se contredisent entre elles à plusieurs endroits.
Sa naissance et son enfance sont mentionnées chez Marc, et bien que "Matthieu"
et "Luc" affirment qu'il est "né d'une vierge," on
fait remonter sa lignée de Joseph à la maison de David, de façon
à ce qu'il "réponde à la prophétie." Dans
les trois Evangiles synoptiques, on indique qu'il a enseigné durant un
an avant de mourir, alors que chez "Jean" on parle de trois années.
"Matthieu" indique que Jésus a donné le "Sermon de
la Montagne" devant "les foules," alors que "Luc" mentionne
une conversation privée avec quelques disciples. Les récits de la
Passion et de la Résurrection différent totalement les uns des autres,
et aucun n'indique à quel âge il est mort. Pour Wheless, "les
soi-disant écrits 'canoniques' du Nouveau Testament constituent un texte
confus et qui se contredit lui-même, l'estimation présente étant
d'au moins 150 000 lectures possibles, ce fait étant connu et admis."
De plus, sur les douzaines d'évangiles, certains qui à l'origine
étaient considérés comme authentiques ou canoniques furent
plus tard rejetés comme apocryphes ou faux, et vice-versa. Cela fait beaucoup
pour "l'infaillible Parole de Dieu" et l'Eglise "infaillible!"
La confusion est partout présente car au cours des siècles, des
chrétiens plagiaires ont essayé d'amalgamer et de fusionner pratiquement
tous les mythes, contes de fées, légendes, doctrines ou fragments
de sagesse qu'ils pouvaient trouver à partir d'innombrables philosophies
et religions à mystère qui existaient à l'époque.
Ils ont ainsi contrefait, interpolé, mutilé, changé et réécrit
ces textes pendant des siècles. Sources
non bibliques
En fait, il n'y a pas de référence non biblique au personnage historique
de Jésus par aucun des historiens connus de l'époque contemporaine
et suivant la prétendue venue du messie. Walker indique qu'aucun écrivain
de son temps ne l'a mentionné dans un écrit connu. L'éminent
historien juif helléniste et philosophe Philon (20 B.C.E.- 50 C.E.), vivant
à l'époque supposée de Jésus, ne le mentionne pas.
Les quelques quarante historiens qui se sont succédés dans les deux
premiers siècles ne l'ont pas mentionné davantage." Il reste
suffisamment d'écrit de [ces] auteurs
pour former une bibliothèque.
Et pourtant dans cette masse de littérature juive et païenne, excepté
deux passages contrefaits dans les écrits d'un auteur Juif, plus deux passages
controversés dans les uvres d'écrivains romains, on ne trouve
aucune mention de Jésus-Christ." Leur silence constitue un témoignage
assourdissant envers les historiens . Dans toute l'uvre de l'historien
Juif Josèphe, formée de nombreux volumes, il y a seulement deux
paragraphes qui prétendent se référer à Jésus.
Quoique l'on ait beaucoup dit sur ces "références", elles
ont été dénoncées par tous les érudits et même
par les apologistes chrétiens comme étant des faux, comme l'ont
été celles se référant à Jean le Baptiste et
Jacques, "frère" de Jésus. L'évêque Warburton
qualifia l'interpolation de Josèphe concernant Jésus de "faux
avéré, de plus très stupide." Wheless indique que "la
première mention de ce passage, avec son texte, se trouve dans l'Histoire
de l'Eglise de cet écrivain très malhonnête qu'était
Eusèbe, au quatrième siècle... " CE [Catholic Encyclopedia]
admet que le passage mentionné ci-dessus "n'était pas connu
d'Origène et des premiers écrivains patristiques." Wheless,
un juriste, et Taylor, un ministre, s'accordent à dire qu'Eusèbe
lui-même fabriqua le passage. Si l'on considère la lettre à
Trojan supposée écrite par Pline le Jeune, qui est l'une des si
rares "références" à Jésus ou à la
Chrétienté exhibée par les Chrétiens comme preuve
de l'existence de Jésus, on ne peut lui appliquer qu'un seul mot - "Chrétien"
- et on a montré qu'il s'agissait d'un faux, comme est suspectée
de l'être la lettre toute entière. En ce qui concerne le passage
dans les travaux de l'historien Tacite, qui n'a pas vécu à l'époque
supposée de Jésus mais qui est né 20 ans après sa
prétendue mort, il est aussi considéré par les érudits
compétents comme étant une interpolation et un faux. Les défenseurs
des Chrétiens mettent aussi en avant le passage de Suétone se référant
à une personne du nom de "Chrestus" ou "Chrestos" comme
une référence à leur Sauveur ; quoiqu'il en soit, alors que
certains ont spéculé qu'il y avait un Romain qui s'appelait ainsi
à cette époque, le nom Chrestus" ou "Chrestos", qui
signifie "utile", était fréquemment porté par des
esclaves libérés. D'autres affirment que ce passage est aussi une
interpolation. De ces références, Dujardin dit que "même
si elles sont authentiques, et dérivent de sources plus anciennes, elles
ne nous ramèneraient pas avant la période lors de laquelle la légende
évangélique prit forme, et ainsi ne pourraient attester que la légende
de Jésus et non son historicité." Dans tous les cas de figure,
ces "références" rares et brèves à un homme
qui aurait soi-disant bouleversé le monde peuvent difficilement être
tenues pour des preuves de son existence, et il est absurde de faire reposer la
religion Chrétienne dans son entier sur son authenticité supposée.
Comme l'on dit, "les affirmations extraordinaires nécessitent des
preuves extraordinaires"; cependant, aucune preuve d'aucune sorte de l'historicité
de Jésus n'a jamais existé ou est sur le point de l'être. Les
Personnages Il
est évident qu'il n'y avait pas un personnage unique sur lequel la religion
chrétienne s'est fondée, et que ce "Jésus-Christ"
est une compilation de légendes, héros, dieux et hommes-dieux. La
place manque ici pour entrer dans le détail au sujet de chaque dieu qui
a contribué à la formation du personnage de Jésus; il suffit
de dire qu'il y a abondance de documents pour prouver que ce sujet n'est pas une
question de "foi" ni de "croyance." La vérité
est que, à l'époque où ce personnage est supposé avoir
vécu, il existait une vaste bibliothèque à Alexandrie et
un réseau incroyablement souple de confréries qui s'étendait
de l'Europe à la Chine ; ce réseau d'informations a eu accès
à de nombreux manuscrits qui racontaient le même récit que
celui du Nouveau Testament, avec des noms de lieu et d'appartenance ethnique différents.
Dans la réalité, le récit de la vie de Jésus constitue
un parallèle presque identique avec l'histoire de Krishna, par exemple,
y compris dans les détails, comme signalé entre autres par le mythologue
et érudit distingué Gérald Massey il y a plus de cent ans,
aussi bien que par le révérend Robert Taylor il y a cent-soixante
ans, entre autres 14.
Le conte de Krishna que l'on trouve dans les Védas hindous a été
daté à au moins 1400 avant J-C. 15
On peut dire la même chose du mythe d'Horus, qui est presque identique,
dans ses détails, à l'histoire de Jésus, mais qui précède
la version chrétienne de milliers d'années. L'histoire de Jésus
a incorporé des éléments de récits d'autres dieux
enregistrés dans ce vaste territoire, comme par exemple ceux des sauveurs
du monde et "fils de Dieu", dont la plupart précèdent
le mythe chrétien, et dont un bon nombre furent crucifiés ou exécutés
: · Adad d'Assyrie · Adonis,
Apollon, Héraclès ("Hercule"), et Zeus
en Grèce · Alcides de Thèbes · Attis
de Phrygia · Baal de Phénicie · Bali
d'Afghanistan · Beddru du Japon · Buddha
en Inde · Crite de Chaldée · Deva
Tat du Siam · Hésus des druides celtes ·
Horus, Osiris, et Sérapis d'Egypte, dont l'aspect
barbu avec de longs cheveux a été adopté pour le personnage
du Christ · Indra au Tibet ·
Jao au Népal · Krishna en Inde ·
Mikado des Sintoos · Mithra en Perse · Odin
des Scandinaves · Prométhée au Caucase ·
Quetzalcoatl au Mexique · Salivahana aux Bermudes
· Tammuz de Syrie (qui fut, dans un mouvement typique de
la fabrication des mythes, plus tard transformé en disciple Thomas 16)
· Thor en Gaule · Monarque
universel des Sibyles · Wittoba des Bilingonèses
· Xamolxis de Thrace · Zarathustra/Zoroastre
en Perse · Zoar des Bonzes Les
principaux protagonistes Bouddha Bien
que la plupart des personnes pensent que Bouddha fut une personne qui vécut
vers 500 avant E.C:, on peut également démontrer que le personnage
généralement dépeint comme Bouddha est une compilation d'hommes-dieux,
des légendes et paroles de divers hommes saints avant et après la
période attribuée au Bouddha historique. 17
Le personnage de Bouddha a les points suivants en commun avec le Christ:
· Bouddha est né de la Vierge Maya, qui
était considérée comme la "Reine du Ciel".
· Il était de naissance royale. · Il exécutait
des miracles et des merveilles, guérissait les malades, nourrit 500 hommes
à partir d'un "petit panier de gâteaux", et marcha sur
les eaux. · Il a écrasé la tête d'un serpent.
· Il a supprimé l'idolâtrie, était un "semeur
de mots", et prêchait "l'établissement d'un royaume de
justice". · Il enseigna la chasteté, la douceur, la tolérance,
la compassion, l'amour et l'égalité de tous. · Il fut
transfiguré sur une montagne. · Sakya Buddha fut crucifié
pour expier ses fautes, souffrit durant trois jours en enfer, puis fut ressuscité.
· Il est monté au Nirvana ou au "ciel." ·
Il était considéré comme le "bon berger "
18, le "Charpentier", "l'Infini et Eternel".
· Il fut appelé "le Sauveur du Monde" et "la lumière
du Monde". Horus
d'Egypte Les
histoires de Jésus et d'Horus sont très semblables, Horus ayant
de plus contribué à l'attribution du nom de Jésus-Christ.
Horus et son père Osiris sont fréquemment interchangeables dans
le mythe ("Moi et mon Père sommes un"). Les légendes relatives
à Horus datent de milliers d'années, et il a avec Jésus les
points communs suivants: · Horus est né
de la vierge Isis-Meri le 25 décembre dans une grotte/crèche, sa
naissance étant annoncée par une étoile à l'est et
attendue par trois hommes sages. · Il enseignait à des enfants
au Temple et fut baptisé à l'âge de trente ans. ·
Il a eu 12 disciples. · Il effectua des miracles et éleva un
homme, El-Azar-us, d'entre les morts. · Il marcha sur l'eau.
· Horus fut transfiguré sur la Montagne. · Il a été
enterré dans un tombeau et a été ressuscité.
· Il était aussi "la Voie, la Vérité, la Lumière,
le Messie, le fils oint de Dieu, le Fils de l'Homme, le Bon Berger, l'Agneau de
Dieu, le Mot", etc. · Il était "le Pêcheur"
et était associé à l'Agneau, au Lion, au Poisson ("Ichthys")
· L'épithète personnelle de Horus était "Iusa,"
"le fils éternel" de "Ptah," le "Père."
19.
· Horus s'appelait "le KRST," ou "Oint," longtemps
avant que les chrétiens en reprennent l'histoire 20.
En fait, dans les catacombes de Rome, on trouve des images d'Horus
représenté comme un bébé tenu par Isis, la vierge
mère - la "Madonne et l'enfant" initiaux 21
- et le Vatican lui-même est construit sur la papauté de Mithra,
qui a de nombreux points communs avec Jésus et qui a existé longtemps
avant que le personnage de Jésus ne soit formalisé. La hiérarchie
chrétienne est presque identique à la version de Mithra à
laquelle elle s'est substitué 22.
Pratiquement tous les éléments du rite catholique, de l'obole à
l'ostie et de l'eau bénite à l'autel jusqu'à la doxologie
sont directement empruntés à d'anciennes religions à mystères
paiennes. Krishna
de l'Inde
Les similitudes entre le personnage Chrétien et le messie Indien sont nombreuses.
En effet, Massey trouve plus de 100 similarités entre les deux, et Graves,
qui inclut les divers évangiles apocryphes dans son analyse, en liste plus
de 300. Il est intéressant de remarquer qu'une ancienne écriture
usuelle de Krishna en anglais était "Christna", ce qui fait ressortir
son rapport avec "Christ". On peut encore noter que, tout comme le messie
Juif, beaucoup de gens pensaient que Krishna avait physiquement existé.
· Krishna est né de la Vierge Devaki ("La
Divine"). · Son père était charpentier. ·
Sa naissance était attendue par des anges, des hommes sages et des bergers,
et il se présenta avec de l'or, de l'encens et de la myrrhe. ·
Il s'appelle Dieu des bergers. · Il fut persécuté par
un tyran qui ordonna le meurtre de milliers d'enfants en bas âge. ·
Il était de naissance royale. · Il fut baptisé dans
le Gange. · Il effectua miracles et merveilles. · Il ressuscitait
les morts et guérissait les lépreux, les sourds et les aveugles.
· Krishna utilisait des paraboles pour enseigner au peuple la charité
et l'amour. · "Il vécut pauvre et il aima les pauvres."
· Il fut transfiguré devant ses disciples. · Dans
certaines traditions, il mourut sur un arbre ou fut crucifié entre deux
voleurs. · Il ressuscita d'entre les morts et monta au ciel.
· Krishna est appelé "le Dieu-Berger" et le "Seigneur
des Seigneurs", et était considéré comme "le rédempteur,
le premier-né, le Libérateur, le Mot Universel". ·
Il est la seconde personne de la trinité et s'est proclamé lui-même
"la résurrection" et "la voie vers le Père".
· Il était considéré comme "le Début,
le Milieu et la Fin" ("alpha et omega"), comme un être omniscient,
omniprésent et omnipotent. · Ses disciples lui donnèrent
le titre de "Jezeus", ce qui signifie "pure essence".
· Krishna doit revenir se battre avec le "Prince du Mal", qui
désolera la Terre. Mithra,
le Dieu-Soleil de Perse L'histoire
de Mithra précède la fable chrétienne d'au moins six cent
ans. D'après Wheless, le culte de Mithra était, peu avant l'ère
chrétienne, le plus populaire et répandu des religions 'paiennes'
de l'époque. Mithra a les caractéristiques suivantes en commun avec
le Christ: · Mithra est né d'une vierge
le 25 décembre. · Il était considéré comme
un grand professeur et un maître itinérant. · Il était
appelé "le Bon Berger." · Il était considéré
comme "la Voie, la Vérité et la Lumière."
· Il était encore considéré comme "le Rédempteur,"
"le Sauveur," "le Messie." · Il était identifié
à la fois au Lion et à l'Agneau. · Son jour sacré
était le dimanche, le "jour du Seigneur", des centaines d'années
avant l'émergence du Christ. · Il avait sa fête principale
à la date qui allait ensuite devenir Pâques, correspondant à
sa résurrection. · Il avait 12 compagnons ou disciples.
· Il effectuait des miracles. · Il a été enterré
dans un tombeau. · Après trois jours, il s'est relevé.
· Sa résurrection était célébrée
chaque année. · Sa religion comportait une eucharistie ou "dîner
du Seigneur". Prométhée
de Grèce On
a affirmé que le Dieu Grec Prométhée venait d'Egypte, mais
son drame se situa en fait dans les montagnes du Caucase. Prométhée
partage avec le Christ de nombreux points communs. ·
Prométhée descendit du ciel comme un Dieu pour s'incarner en homme
afin de sauver l'humanité. · Il fut crucifié, souffrit
et fut ressuscité. · Il fut appelé le Verbe ou le Mot.
La tradition affirme que Prométhée fut crucifié
sur un rocher, mais cependant certaines sources indiquent qu'il fut crucifié
sur un arbre et que les Chrétiens modelèrent l'histoire et/ou mutilèrent
le texte, comme ils le firent avec les uvres de tant d'auteurs anciens.
Quoiqu'il en soit, le Soleil caché par l'obscurité constitue un
parallèle avec le récit chrétien de l'obscurité qui
tomba quand Jésus fut crucifié. Cet événement remarquable,
qui n'est pas enregistré dans l'histoire, n'est explicable qu'à
l'intérieur d'un mythe et comme partie d'une pièce récurrente. La
création d'un mythe Les
chrétiens ont effectué une telle censure que cela a mené
à l'analphabétisme virtuel du monde antique ; de plus, ils se sont
assurés que leur secret serait caché des masses, mais les érudits
des autres écoles et sectes n'ont jamais renoncé à leurs
arguments contre l'historicisation d'un être mythologique très antique.
Nous avons perdu les arguments de ces dissidents érudits parce que les
chrétiens ont détruit toutes les traces de leurs travaux. Néanmoins,
les chrétiens ont préservé les conflits avec leurs détracteurs
par les propres réfutations. Par exemple, un des premiers pères
de l'église, Tertullien (160-220 C.E.) "ex-païen" et évêque
de Carthage, admet ironiquement les véritables origines du récit
du Christ et de tous les autres hommes-dieux en énonçant une réfutation
de ses critiques, "Vous dites que nous adorons le soleil, mais vous aussi."
23 Point
notable, initialement croyant et défenseur acharné de la foi, Tertullien
renonça ensuite au christianisme 24. Le
fils ("Son") de Dieu est le soleil ("Sun") de Dieu La
raison pour laquelle tous ces récits sont si semblables, avec un homme-dieu
qui est crucifié et ressuscité, qui fait des miracles et a 12 disciples,
est que ces contes sont basés sur les mouvements du soleil dans les cieux,
un développement astro-théologique qui peut être retrouvé
sur toute la planète parce qu'on peut observer le soleil et les 12 signes
de zodiaque tout autour du globe. Autrement dit, Jésus-Christ et tous les
autres sur qui son personnage est fondé sont des personnifications du soleil,
et l'Évangile est simplement une répétition d'un texte mythologique
(le "Mythos", voir plus haut) concernant les mouvements du soleil dans
les cieux 25.
Par exemple, la plupart des hommes-dieux crucifiés ont leur anniversaire
traditionnel le 25 décembre. C'est parce que les anciens se sont rendu
compte que (d'une perspective géocentrique) le soleil effectue une descente
annuelle vers le sud jusqu'au 21ème ou 22ème jour de décembre,
le solstice d'hiver, qu'il cesse ensuite de se déplacer vers le sud pendant
trois jours et puis recommence à se déplacer vers le nord. A ce
moment, les anciens disaient que le "soleil de Dieu" "était
mort" pour trois jours avant de "ressusciter" le 25 décembre.
Les anciens se rendaient compte de façon très claire qu'ils avaient
besoin du Soleil chaque jour et qu'ils auraient de gros ennuis si le soleil continuait
à se déplacer vers le sud et ne s'arrêtait pas pour inverser
sa direction. Ainsi, ces nombreuses cultures célébraient l'anniversaire
du "soleil de Dieu" le 25 décembre
26. Suivent les caractéristiques du "soleil de Dieu":
· Le soleil "meurt" pendant trois
jours le 22 décembre, lors du solstice d'hiver, quand il arrête son
mouvement vers le sud, avant de renaître le 25 décembre, lorsqu'il
reprend son mouvement vers le nord. · Dans certaines cultures, le
calendrier commençait initialement dans la constellation de la Vierge,
et le soleil était donc " né d'une Vierge." ·
Le soleil est la "Lumière du Monde." · Le soleil
"vient sur des nuages, et chaque oeil le verra". · Le soleil
se levant le matin est le "Sauveur de l'humanité". ·
Le soleil porte une "couronne d'épines" ou halo. ·
Le soleil "marche sur les eaux. " · Les "disciples"
du soleil sont les 12 mois et les 12 signes du zodiaque ou constellations, par
lesquels le soleil doit passer. · Le Soleil à 12 heures est
dans la maison ou le temple du "Plus Haut" ; par conséquent ,
"il" commence le "travail de son père" à l'âge
de 12 ans. · Le Soleil entre dans chaque signe du Zodiaque à
30° ; en conséquence, le "soleil de Dieu" commence son ministère
à l'âge de 30 ans. · Le Soleil est tenu sur une croix
ou "crucifié", ce qui représente son passage par les équinoxes,
celle de Printemps étant Pâques (Easter), époque à
laquelle il est ressuscité. Contrairement à la croyance
populaire, les anciens n'étaient pas ignorants et superstitieux au point
de considérer leurs dieux comme de véritables personnes. En fait,
cette propagande calomnieuse représente une partie de la conspiration pour
faire croire que les anciens étaient effectivement la populace hébétée
qui avait grand besoin de la "lumière de Jésus". La vérité
est que les anciens n'étaient pas moins avancés dans leurs pratiques
spirituelles et morales, et même plus avancés dans de nombreux cas,
que les chrétiens avec leur prétendue spiritualité et idéologie
qui, avec cette atteinte à l'historicité, ont en fait dégradé
l'ancien Mythos. En effet, à la différence des chrétiens
"supérieurs", l'élite intellectuelle des anciens se rendait
bien compte que leurs dieux étaient de nature astronomique et atmosphérique.
Platon, Socrate et Aristote savaient sûrement que Zeus, le père et
dieu du ciel qui est arrivé en Grèce originaire d'Inde et/ou d'Egypte,
n'était pas une véritable personne, malgré le fait que les
Grecs avaient indiqué en Crète à la fois une caverne de naissance
et une caverne de la mort de Zeus. De plus, on peut trouver à plusieurs
endroits du monde des sites où ce prétendu Dieu est né, mort,
a marché, souffert, etc., un procédé commun qui n'est pas
monopolisé et n'a pas commencé avec la Chrétienté. L'étymologie
indique l'histoire Zeus,
connu aussi comme "Zeus Pateras," que nous prenons maintenant automatiquement
pour un mythe et non pas une figure historique, prend son nom de sa version indienne,
"Dyaus Pitar." A son tour Dyaus Pitar est relié au "Ptah"
égyptien, et de Pitar et de Ptah vient le mot "pater," ou "père."
"Zeus" provient de "Dyaus," qui est devenu "Deos,"
"Deus" "Dios" et "Dieu." "Zeus Pateras,"
comme Dyaus Pitar, signifie, "Dieu le père", un concept très
ancien qui en aucun cas n'a commencé avec "Jésus" et la
chrétienté. Il n'est pas question de considérer Zeus comme
un personnage historique. Dyaus Pitar est devenu "Jupiter" dans la mythologie
romaine, et de la même façon n'est pas représentatif d'un
personnage réel et historique. Dans la mythologie égyptienne, Ptah,
le père, est le "dieu-force" invisible, et le soleil était
considéré comme le mandataire visible de Ptah qui apporte la vie
éternelle sur terre; par conséquent, le "fils de Dieu"
est vraiment le "soleil de Dieu." En effet, selon Hotema, le nom même
du " Christ " vient du mot "Kris" (comme dans Krishna), qui
est un nom pour le soleil 27.
En outre, puisque Horus s'est appelé "Iusa/Iao/Iesu" le
"KRST" et que Krishna/Christna était appelé "Jezeus"
plusieurs siècles avant un quelconque personnage juif portant le même
nom, il serait plus sûr de considérer que Jésus-Christ n'est
qu'une répétition de Horus et Krishna, entre autres. Selon le révérend
Taylor, le titre "Christ" dans son forme hébraïque, signifiant
"Oint" ("Masiah") a été porté par tous
les rois d'Israël, et il était "tellement emprunté par
tous les imposteurs, prestidigitateurs, et personnes prétendant à
des communications surnaturelles, que la seule référence à
ce mot est considérée comme une indication d'imposture dans l'évangile
elle-même." 28
Hotema établit que le nom de "Jésus-Christ" n'a été
officiellement adopté sous cette forme que lors du premier Conseil de Nicée,
en 325 C.E. 29
En réalité, même les noms de lieu et les appellations
de beaucoup d'autres personnages du nouveau testament peuvent être considérés
comme des traductions hébraïques des textes Egyptiens. Par exemple,
dans le fable de "Lazare," la momie élevée des morts par
Jésus, les copistes chrétiens n'ont pas beaucoup changé son
nom, puisque "El-Azar-us" étant la momie égyptienne élevée
des morts par Horus probablement au moins 1.000 ans avant la version Juive 30.
Ce récit est une allégorie pour le passage du soleil par la "constellation
de la momie," lui apportant la lumière et la vie 31.
Ce n'est pas une histoire vraie. L'ennemi principal de Horus - initialement
l'autre visage d'Horus ou son aspect "sombre" - était "Set"
ou "Sata," d'où vient "Satan." 32
Horus lutte avec Set de la façon exacte dont Jésus lutta avec Satan,
40 jours dans le désert, entre autres similitudes
33. C'est parce que ce mythe représente le triomphe de la lumière
sur l'obscurité, ou le retour du soleil pour soulager la terreur de la
nuit. "Jérusalem" signifie simplement la "ville de
la paix," et il y a des raisons de suspecter que la ville réelle en
Israël ait été nommée d'après la ville sainte
de la paix des textes sacrés égyptiens qui existaient déjà
avant que la ville ait été fondée. De même, "Béthany,"
célèbre site de la multiplication des pains, et qui signifie la
"Maison de Dieu," est une allégorie pour la "multiplication
du nombre à partir de l'Unité."
34 N'importe quelle ville portant ce nom était probablement nommée
à partir de l'endroit allégorique des textes qui existait avant
la formation de la ville. Le prédécesseur et sa contrepartie égyptienne
est "Bethanu." 35 Le
Livre de la Révélation est égyptien et zoroastrien
On peut trouver certains noms de lieu allégoriques tels "Jérusalem"
et "Israël" dans le Livre de la Révélation. Massey
a établi que cette Révélation, loin d'avoir été
écrite par un apôtre du nom de Jean pendant le 1er siècle
C.E., était à cette date un texte très antique qui date des
débuts de cette ère de l'histoire, c.-à-d. probablement écrit
depuis une période aussi considérable que 4.000 ans
36. Massey affirme que la révélation est liée
à la légende mithraïque de Zoroastre/Zarathustra. De ce livre
mystérieux, qui a stupéfié l'humanité pendant des
siècles, Hotema dit : "Il est exprimé en termes de phénomène
créatif ; son héros n'est pas Jésus mais le Soleil de l'Univers,
son héroïne est la Lune ; et tous ses autres protagonistes sont les
planètes, les étoiles et les constellations ; le décor de
la pièce comprend le Ciel, la Terre, les Rivières et la Mer. "
La forme commune de ce texte a été attribuée par Churchward
au scribe d'Horus, Aan, dont le nom nous a été transmis comme "Jean
." 37
(Horus a été également baptisé par "Anup le Baptiseur,"
qui est devenu "Jean le Baptiste." 38)
Le mot Israël lui-même, loin d'être une appellation juive,
vient probablement de la combinaison de trois dieux régnants différents:
Isis, la Déesse Mère de la Terre révérée dans
tout le monde antique; Ra, le dieu-soleil égyptien; et El, le dieu Sémite
que nous connaissons sous le nom de Saturne. 39 "El/Saturn" était
un des noms les plus anciens pour le dieu des anciens Hébreux (d'où
Emmanu-El, Micha-El, Gabri-El, Samu-El, etc.), et son culte se reflète
dans le fait que les juifs considèrent toujours samedi ("Saturday")
comme le "jour de Dieu." 40
En effet, le fait que les chrétiens adorent le dimanche ("Sunday")
trahit les origines véritables de leur dieu et homme-dieu. Leur "sauveur"
est en fait le soleil, qui est la "Lumière du monde que chaque oeil
peut voir." Le soleil a été constamment considéré
à travers l'histoire comme le sauveur de l'humanité pour d'évidentes
raisons. Sans soleil, la planète ne durerait qu'un jour tout au plus. Le
Soleil était tellement important pour les anciens qu'ils ont composé
un "Livre du Soleil", ou "Helio Biblia", qui est devenu la
"Sainte Bible" ("Holy Bible"). Les
"patriarches" et "Saints" sont les Dieux d'autres cultures
Quand on étudie la fabrication des mythes, on peut aisément discerner
et tracer un schéma qui s'est répété à travers
l'histoire. Toutes les fois qu'une culture d'invasion prend le pas sur ses prédécesseurs,
elle diffame les dieux précédents ou les transforme en dieux secondaires,
"patriarches", ou, dans le cas de la chrétienté, "saints
." Ceci s'est produit à plusieurs reprises dans l'histoire. Un exemple
de ce procédé est l'adoption du nom du dieu Hindou Brahma comme
celui du patriarche Hébreu Abraham
41. Une autre école de pensée propose que le nom du patriarche
Joshua ait été basé sur Horus en tant que "Iusa,"
puisque le culte de Horus avait migré à cette période vers
le Levant. Dans cette théorie, le culte de Joshua, situé exactement
dans la zone où le drame du Christ a prétendument eu lieu, fut passé
dans l'histoire chrétienne, avec Joshua devenant Jésus.
42 Comme le dit Robertson, "le livre de Josuah nous conduit à
penser qu'il avait plusieurs attributs du dieu-Soleil et que, comme Samson et
Moise, il était une ancienne déité réduite à
un statut de simple mortel." En effet, la légende de Moïse,
loin d'être celle d'un personnage Hébreu historique, peut être
retrouvée dans l'Extrême et le Moyen-Orient antique, le personnage
ayant différents noms et appartenances ethniques, selon l'endroit: "Manou"
est le législateur Indien ; "Nemo le législateur," qui
a descendu les tablettes de la Montagne de Dieu, vient de Babylone; on trouve
"Mises" en Syrie et en Egypte, où "Manes le législateur
occupe aussi la scène ; Minos est le réformateur Crétois
et les Dix Commandements ("Décalogue") sont une simple répétition
du code Babylonien d'Hammurabi et des Védas Hindous, entre autres. 43
Comme Moïse, Krishna a été placé par sa mère
dans un bateau de roseau, et abandonné au fleuve avant d'être découvert
par une autre femme. 44
Il y a un siècle, Massey a souligné, et Graham a récemment
réitéré, que l'exode lui-même n'est pas un événement
historique. Que la réalité de l'exode soit remise en question est
renforcé par le manque d'un quelconque enregistrement archéologique,
comme le signale La revue biblique d'archéologie ("BAR"), de
Septembre/Octobre 1994. 45
Comme la majorité des personnages bibliques principaux, Noé
est également un mythe 46,
il y a bien longtemps emprunté aux Egyptiens, aux Sumériens et à
d'autres, comme n'importe quel érudit expérimenté pourrait
le démontrer, et cependant nous trouvons toutes sortes de livres - dont
certains transmettant même la "vérité finale" fournie
par un être mystique, omniprésent, omniscient et éternel,
comme Jésus lui-même - jasant sur un véritable Noé
historique, ses aventures extraordinaires, et la "Grande Inondation !"
47
De plus, l' "Esther" du Livre d'Esther dans le Vieux Testament est une
réminescence de la déesse Ishtar, Astarte, Astoreth ou Isis, dont
vient "Pâques" ("Easter")
48 et au sujet de laquelle peu est dit dans le "Mot infaillible
de Dieu" sur son règne si étendu dans l'espace et le temps.
49 Le
motif de la Vierge Mère/Déesse/Reine des Cieux se retrouve sur tout
le globe, bien avant l'ère Chrétienne, Isis étant par exemple
aussi appelée "Mata-Meri" ("Mère Marie"). Comme
le dit Walker, "Mari" était le "nom de base pour la Déesse
connue des Chaldéens comme Marratu, des Juifs comme Marah, des Perses comme
Mariham, des Chrétiens comme Marie. Les sémites adoraient une combinaison
androgyne de la Déesse et du Dieu, appelé Mari-El (Marie-Dieu),
qui correspondait à l'Egyptien Meri-Ra, qui combinait le principe féminin
de l'eau au principe masculin du Soleil. " Même le nom hébraïque
de Dieu, "Yahweh," a été pris du mot égyptien,
"IAO." 50
Dans l'une des tromperies Chrétiennes les plus connues, et afin de
convertir les fidèles du "Seigneur Bouddha", l'Eglise le canonisa
comme St Josaphat", ce qui représentait l'interprétation chrétienne
du titre bouddhique "Bodhisat". Les
"Disciples" sont les maisons du zodiaque
De plus, ce n'est pas une coïncidence s'il y a 12 patriarches et 12 disciples,
12 étant le nombre de maisons astrologiques, ou mois. En effet, comme les
12 tâches herculéennes et les 12 "aides" d'Horus, les 12
disciples de Jésus sont symboliques des maisons du zodiaque et ne correspondent
à aucune personne qui a joué un rôle vers 30 C.E. On peut
montrer que les disciples sont d'anciennes déités/héros folklorique/constellations.
Pierre est facilement identifié à un personnage mythologique 51,
et on a dit que Judas représente le Scorpion, "le médisant,"
la période de l'année où les rayons du soleil s'affaiblissent
et où le soleil semble mourant. 52
Jacques, le "frère de Jésus" et "frère du
Seigneur", est équivalent à Amset, le frère d'Osiris
et frère du Seigneur. Massey dit que "Taht-Matiu était le scribe
des dieux, et dans l'art Chrétien Matthieu est dépeint comme le
scribe des dieux, avec un ange assis à côté de lui, pour lui
dicter l'Evangile." Certains conjecturent que l'apôtre Paul est lui
aussi inventé. 53 Jésus
était-il un maître d'Essène?
Pour ce qui est de Jésus assimilé à un Essénien selon
les Rouleaux "secrets" de la Mer Morte, on avait spéculé
sur ce fait depuis des siècles, donc avant la découverte des rouleaux,
mais Massey a habilement argué du fait que plusieurs des enseignements
présumés de Jésus étaient en contradiction avec ou
étaient inexistants dans la philosophie des Esséniens. Les Esséniens
ne croyaient pas à la résurrection corporelle, ni à un messie
fait chair. Ils n'acceptaient pas l'historicité de Jésus. Ils n'étaient
pas des sectateurs de la Bible des Hébreux, ou de ses prophètes,
ou du concept de la chute originelle qui doit produire un sauveur. Massey remarque
plus loin que les Esséniens étaient des antialcooliques et mangeaient
pour vivre plutôt que l'inverse. Comparé à eux, Jésus,
l'Essénien assumé, semble être un glouton et un alcoolique.
En outre, tandis que selon Josèphe les Esséniens détestaient
prêter des serments, Jésus adorait faire prêter serment à
ses disciples. Comme beaucoup de doctrines Esséniennes sont inclues dans
le Nouveau Testament, la liste des disparités entre les Esséniens
des Rouleaux de la Mer Morte et leur prétendu grand maître Jésus
se poursuit. 54 Qumran
n'est pas une Communauté d'Esséniens
À cet égard, il convient de noter qu'il y a une autre discussion
pour savoir si Qumran, le site traditionnellement associé aux Rouleaux
de la Mer Morte, était une communauté d'Esséniens. Dans BAR,
précédemment citée, on signale que les trouvailles archéologiques
indiquent que Qumran n'était pas une communauté d'Esséniens
mais était probablement une halte pour des voyageurs et des négociants
traversant la Mer Morte. Dans BAR, on a également présumé
que le ton fervent et le style guerrier de certains des rouleaux déterrés
près de Qumran dénient une origine Essénienne et indiquent
plutôt une attribution possible aux fanatiques Zélotes Juifs. Dans
" Qui a écrit les Rouleaux de la Mer Morte ",
Norman Golb plaide avec succès que ces documents n'ont pas été
écrits par des scribes d'Essène, mais étaient une collection
de livres d'une variété de bibliothèques qui ont été
cachés dans des cavernes à l'est d'Israël par des Juifs qui
voulaient échapper aux armées de Rome pendant la première
révolte 70 A.D. Golb a aussi présumé que Qumran était
une forteresse et non un monastère. De toutes façons, il est impossible
d'identifier l' "enseignant de justice" trouvé dans les rouleaux
à Jésus-Christ. Le
nouveau testament fut-il composé par les Thérapeutes?
En 1829, le Rév. Taylor a habilement plaidé que l'histoire entière
de l'Évangile existait déjà longtemps avant le début
de l'ère chrétienne et fut probablement composé par les moines
égyptiens d'Alexandrie appelés les "Thérapeutes"
en Grec et les "Esséniens" en Egyptien, les deux mots signifiant
"soigneurs". 55
Cette théorie découle en partie de l'affirmation de l'un des premiers
pères de l'église, Eusèbe qui, dans ce qui semble un de ses
rares moments d'honnêteté, "admit
que les épîtres
et évangiles Chrétiennes canoniques étaient les anciens écrits
des Esséniens et des Thérapeutes reproduits au nom de Jésus."
Taylor affirme lui aussi que "les Thérapeutes Egyptiens, voyageurs,
ramenèrent toute l'histoire d'Inde jusqu'à leurs monastères
en Egypte où, quelques temps après les débuts de la monarchie
Romaine, il fut transformé en Christianisme." En outre, Wheless démontre
qu'on peut trouver une grande partie du récit de "Jésus-Christ"
dans le livre d'Enoch, qui date l'arrivée supposée du maître
juif de centaines d'années avant. 56
D'après Massey, ce sont les Gnostiques 'païens' - ce qui incluait
des membres des Esséniens/Thérapeutes et des confréries Nazaréennes,
entre autres - qui amenèrent en fait à Rome les textes ésotériques
(gnostiques) contenant le Mythos, sur lesquels les nombreux évangiles,
incluant les quatre canoniques, se basèrent. Wheless dit que "les
Evangiles et autres brochures du Nouveau Testament, écrites en Grec et
citant 300 fois les Septuagint Grecs et plusieurs auteurs païens Grecs, comme
Arathus et Cléanthe, furent écrits non pas par des paysans Juifs
illettrés mais par des Pères et des prêtres ex-païens
de langue Grecque loin de la Terre Sainte des Juifs." Mead affirma : "
Nous pouvons en conclure que les originaux de nos quatre Evangiles furent probablement
écrits en Egypte, sous le règne d'Hadrien." Conclusion
Comme le dit Walker, "Les efforts des érudits pour éliminer
le paganisme des Evangiles, afin de retrouver le personnage historique de Jésus,
se sont avérés aussi désespérés que de rechercher
le noyau d'un oignon." L'histoire "Évangélique" de
Jésus n'est pas une représentation effective d'un "maître"
historique qui a marché sur la terre il y a 2.000 ans. C'est un mythe établi
à partir d'autres mythes et hommes-dieux, qui étaient à leur
tour des personnifications du mythe omniprésent du dieu-soleil. "
Le Christ des Evangiles n'est en aucun cas un personnage historique ou un modèle
suprême de l'humanité, qui souffrit, essaya et échoua à
sauver le monde par sa mort. Il est impossible d'établir l'existence d'un
personnage historique même en tant qu'imposteur. Car dans ce cas les deux
témoins que sont la mythologie astronomique et le gnosticisme s'avèrent
être un alibi. Le Christ est une figure populaire qui n'a jamais existé,
une figure d'origine païenne ; une figure qui fut le Bélier et ensuite
le Poisson ; une figure qui était sous forme humaine le portrait et l'image
d'une douzaine de dieux différents." Gerald
Massey ©
1998 Acharya S Écrit
et Traduit à l'aide du traducteur Alta Vista. Retranscrit ici avec l'accord
d' Acharya S.
_______________________ Les
origines mythiques du christianisme Marc
Hallet Voici
déjà neuf ans, j'ai achevé la première version d'un
ouvrage de critique historique sur lequel je travaillais alors depuis une vingtaine
d'années. Cette version était destinée à quelques
érudits dont certains m'avaient pressé de coucher enfin au net les
nombreuses notes que j'avais accumulées. Jésus
a-t-il existé ou ne fut-il jamais qu'une légende ou un mythe? Les
bases mêmes du christianisme sont-elles solides ou ne reposent-elles que
sur un amas de mensonges, de superstitions et de croyances indéfendables
héritées des cultes et religions qui le précédèrent?
Telles étaient les graves questions que j'examinais. A la différence
d'autres du genre, mon ouvrage ne proposait pas une solution simpliste basée
sur une ou deux thèses à sens unique. Il montrait que le mythe de
Jésus s'était forgé lentement, par des accroissements divers
et subtils d'origines très diverses, l'ensemble ayant abouti finalement
à un tout qui n'était cohérent que pour ceux qui n'y regardaient
pas de trop près et qui étaient mal informés... Mon
travail reçut un accueil si enthousiaste que je décidai aussitôt
de travailler à sa version définitive en profitant des nombreuses
remarques et conseils qui m'avaient été adressés. Le temps
passa... Aujourd'hui,
après avoir fait relire une dernière fois mon manuscrit par mon
ami Michel Moutet, historien de formation, je puis enfin le proposer auprès
d'un plus large public. Soit
un ouvrage format A4 de plus de 230 pages dans lesquelles sont incluses de nombreuses
illustrations. Il est présenté sous couverture carton de couleur,
les feuilles étant reliées/encollées manuellement (reliure
artisanale soigneuse). L'ouvrage est proposé au prix de 23 euros pièce,
port ordinaire compris (envoi dans une solide enveloppe matelassée). En
raison de l'extravagance des tarifs postaux belges, il ne m'est pas possible de
préciser les tarifs applicables pour des envois en nombre et/ou recommandés.
Merci de me contacter à ce sujet au préalable.
MODES
DE PAIEMENT : AU
DEPART DE LA BELGIQUE : on peut effectuer un virement sur mon compte 000-0635115-56
ou m'adresser un chèque barré à l'adresse suivante : BP 367,
4020, LIEGE 2 EN DEHORS DE LA BELGIQUE : L'usage des chèques est désormais
interdit pour les paiements internationaux. Les paiements peuvent dès lors
être effectués de deux manières différentes : 1)
par mandat international à l'adresse ci-dessus (ce moyen est sûr
et pratique et engendre des frais fixes peu élevés de votre part
uniquement) 2)
par virement bancaire ou postal sans frais, MAIS uniquement si les conditions
suivantes sont respectées : - Vous devrez préciser mon code
SWIF/BIC : BPOTBEB1 - Vous devrez préciser mon code IBAN : BE 20 0000
6351 1556 - Vous devrez préciser votre code IBAN (renseignez-vous auprès
de La Poste ou de votre banque) Si
l'une de ces conditions n'est pas remplie, des frais risquent de nous incomber
à vous et à moi. Je me verrai alors dans l'obligation de refuser
votre paiement et de vous le retourner défalqué des frais payés.
Je vous conseille donc de bien vous renseigner auprès de votre organisme
payeur, certaines banques françaises semblant assez tentées de contourner
les lois européennes par divers moyens... |
_______________________ Jésus
? Une histoire qui ne peut pas être de lHistoire Ce
livre nest, pour linstant, disponible que par Internet en version
numérique ou papier (envoi par la poste). Adresse: http://www.publibook.com
Les deux premiers chapitres sont lisibles sur le site. En attendant, voici un
résumé pour vous donner une idée du contenu. Cet
ouvrage présente une thèse inédite sur les origines du christianisme.
Elle est déduite de plusieurs constats. Les Évangiles
sont des écrits dorigine sectaire. Imprégnés de surnaturel,
remplis danomalies, de contradictions et dinvraisemblances, ils ne
sont pas fiables sur le plan historique. Par ailleurs, bien quon
lait prétendu, aucun témoignage ou trace matérielle
ne confirment lexistence du Jésus évangélique, ni celle
dun obscur prophète dont il serait la légende.
Ces récits ne peuvent pas être la mise par écrit de traditions
orales issues de témoignages populaires sur des réalités
vécues. Ils laissent voir en filigrane toutes leurs sources dinspiration,
décalques de textes antérieurs, reprises didées et
de modèles bibliques. Lexploitation habile des passages dits prophétiques,
le jeu très subtil de la symbolique, tout y dénonce des élaborations
savantes. Lanalyse lingüistique montre que les premières
versions ont été réalisées en hébreu, une langue
qui ignore nos temps des verbes (passé, présent et futur). Doù
lidée que les Évangiles ont été conçus
comme des écrits danticipation et quensuite, traduits en grec,
ils ont été pris pour des narrations biographiques. La thèse
avancée explique pourquoi et comment des rédacteurs ont écrit
ce qui nétait jamais arrivé, sans toutefois inventer ni mentir.
Leurs différentes prévisions, motivées par lespérance
eschatologique du premier siècle, parlent dun Messie de synthèse
qui annonce limminence de la fin des temps aux bons Juifs, en leur recommandant
une morale durgence. Ce Jésus ne fonde pas une nouvelle religion
universelle. Le christianisme est né à partir de textes et sest
construit, en milieu hellénistique, par un long travail dinterprétation
théologique et dadaptation cultuelle. Michel
Gozard _______________________ La
Conspiration du Christ Acharya S A
l'inverse de ce que prétend la croyance populaire, un seul homme n'est
pas à l'origine du Christianisme mais bien plusieurs caractères
synthétisés en un. La majorité de ces caractères sont
les différentes personnifications du mythe solaire, dont les aventures
étaient bien connues à cette époque ce qui est reflété
par les histoires de déités populaires telles Mithra, Hercules,
Dionysos ainsi que bien d'autres dans tout l'empire romain et au-delà.
En réalité, l'histoire de Jésus dépeinte dans les
évangiles est quasiment identique à celle des précédents
" dieux sauveurs " tels Krishna et Horus. Ces exploits
mythiques sont similaires, non pas parce qu'ils rapportent les exploits réels
d'une variété d'hommes qui firent et dirent des choses identiques,
mais parce qu'ils représentent le même noyau extrêmement antique
de la connaissance qui a tourné autour des corps célestes et des
forces de la nature. Dans
ce livre explosif et très controversé, l'archéologue, l'historienne
férue de mythologie et linguiste Acharya S. rassemble une énorme
quantité d'évidences démontrant que le christianisme et l'histoire
de Jésus-Christ furent créées par des membres de diverses
sociétés, cultes des mystères et religieux, de manière
à unifier l'empire romain sous une religion d'état. Pour fabriquer
pareille mystification, cette cabale multinationale utilisa une multitude de rites
et mythes qui existaient déjà bien avant l'ère chrétienne
et les transforma durant des siècles jusqu'à l'histoire de cette
religion telle que présentée et perçue aujourd'hui. Vous
trouverez de plus amples explications de l'auteur Acharya S au chapitre Qui
est Jésus? <><><><><> "
Expose la conspiration de l'âme..." - Kenn Thomas.
Steamshovel Press " (...) peut-être le
plus dangereux et important livre de nos jours..." - Adam Partfrey,
Cult Rapture "(...) un livre de vraies révélations
!! " - Barbara Walker, The Women's Encyclopedia of Myths
and Secrets _______________________
ATHEE |
Les
pages noires du Christianisme | |
CROA |
| | Il
y a près de 2000 ans, naissait en Galilée un fondateur de secte,
qui finira crucifié environ 30 ans plus tard. Ses avant-derniers mots sur
la croix furent "Donnez-moi à boire". Et pourtant! La secte qu'il
avait fondé deviendra ensuite la plus grande de tous les temps. Elle prendra
le pouvoir politique dans l'empire romain, abolira la liberté de religion,
puis amoncellera des montagnes de cadavres: ses membres massacreront des millions
"d'infidèles", "hérétiques", "sorcières"
et autres, puis se massacreront entre eux en donnant à l'Europe les guerres
les plus féroces qu'elle ait connu. Une telle histoire pourrait inciter
à la modestie, mais les chrétiens revendiquent, au contraire, un
monopole de l'éthique. Ils proclament qu'ils adorent le seul Dieu, dieu
qui est "amour", et se considèrent meilleurs que le reste de
l'humanité, qu'ils condamnent comme étant un ramassis d'adorateurs
de faux dieux. Seule
idéologie à pouvoir partager avec le communisme et le nazisme le
podium dédié aux idéologies les plus meurtrières de
l'histoire humaine, le Christianisme reste une idéologie dominante dans
nombre de pays occidentaux, dont le gendarme du monde, les USA. Il est temps d'ouvrir
le Livre Noir du Christianisme -2e édition: 2000 ans de terreur, persécutions,
répression. Ce
livre est jouissif et très bien argumenté: Tous les faits présentés
sont vérifiables par des références à leurs sources.
Un livre à conserver auprès de soi, à lire et à relire
avant d'aller à la messe, à offrir comme cadeau de Pâques
ou de Noël à nos amis les plus pieux. Âmes sensibles s'abstenir.
(ndlr) Les
co-auteurs des pages Noires du Christianisme et leurs liens (où vous pouvez
y commander les " Pages Noires du Christianisme")
_______________________ "Jésus-Christ,
mythe ou personnage historique?"
Roger Peytrignet La
Pensée Universelle, Paris Extrait
de la jaquette du livre: « Peut-on tenir comme un fait historiquement
établi que le Christ, personnage des évangiles, a vécu au
début de notre ère et est mort à Jérusalem aux environs
de l'an 30 sous le règne de Tibère, Ponce Pilate étant procurateur
de Judée ? La thèse mythologique heurte violemment la tradition
reçue et notre culture profonde, contrarie nos habitudes et nos sentiments,
s'oppose à une multitude d'intérêts. Que la vérité
soit gênante, désagréable ou jugée extravagante ne
saurait retenir les propos de l'auteur; à une époque où s'exacerbent
les intégrismes religieux, il lui paraît judicieux de redécouvrir
la démarche rationaliste mise en équation avec les fondements sociaux
et historiques de la culture judéo-chrétienne.» Bon
de Souscription www.rationalisme.org
- free of copyrights - Veuillez simplement citer la source
de ces documents si vous les utilisez, Merci !! <><><><><><><><><> |