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| L'athéisme attaque le Christianisme avec une dénonciation contre Jésus-Christ et l'Église catholique qui a défendu une imposture basée sur de faux documents, tels que la Bible et les Évangiles, avec la violence de l'Inquisition et le plagiat obtenu avec Satan, les exorcismes et autres superstitions. L'auteur après avoir démontré de façon indiscutable que les faits présentés comme vrais et historiques par les " Saintes Écritures" sont en réalité des faux, en premier parmi ceux-ci ceux inhérents la figure de Jésus-Christ qui a été construite sur la figure d'un certain Jean de Gamala, fils de Judas, termine le livre avec une dénonciation-querelle contre les ministres de l'Église Catholique pour abus de la crédulité populaire (art. 661 C.P.) et pour substitution de personne (art. 494 C.P.). |
LA
FABLE DU CHRIST
Les chapitres du livre ¬
(Article
extrait de la Rubrique Littéraire de l’Union des Athées – France) C’est la première fois que dans l’histoire de l’homme on poursuit en justice une religion d’une manière aussi directe et concrète lors d’un procès qui se conclura avec une sentence concernant des délits bien spécifiques et définis, comme l’abus de la crédulité populaire (art. 661 C.P.) et la substitution de personne (494 C.P.). La sentence qui, grâce aux preuves irréfutables apportées par l’accusation, se prononcera certainement avec une condamnation contre les ministres de l’Église catholique en tant que « divulgateurs de faits faux fait passer pour des vrais », en mettant au ban leurs enseignements, déterminera, comme cela a été dit par de nombreuses personnes qui ont déjà lu « La fable de Christ », le début de l’ère post-chrétienne dont toutes les personnes de bonne volonté sollicitaient l’avènement. Toutes les discussions concernant l’existence de Jésus qui, à cause du manque d’argumentations valables, s’étaient prolongées pendant des siècles en des diatribes sans résultat entre croyants et opposants afin d’établir si en tant que Dieu il était un mythe ou une réalité et en tant qu’homme s’il était blond ou brun, marié ou célibataire, beau ou laid, ont été toutes balayées par le livre « la fable de Christ » avec ses preuves irréfutables de sa non-existence. La Fable du Christ en réalité n’est rien d’autre que le dossier contenant les arguments nécessaires pour instruire un procès pénal contre l’Église Catholique en les personnes de ses ministres, c’est un recueil sérieux de preuves juridiques démontrant que la figure de Jésus n’est rien d’autre que le résultat de manipulations et de falsifications de documents qui en réalité se référaient à un certain Jean de Gamala, fils de Judas et petit-fils de Ezéchias à son tour descendant direct de la lignée des Asmonéens fondée par Simon, fils de Mattathias le Maccabée. Pour arriver à cette conclusion, afin qu’il ne puisse y avoir aucun doute sur ses conclusions, l’auteur a effectué une exégèse rationnelle et pratique pas seulement sur les Livres Saints mais aussi sur toute une documentation concernant les religions païennes et leurs Cultes des Mystères dont le Christianisme résulte être une parfaite reproduction. Quoique ce livre puisse être dédaigné et condamné par quiconque a fait du mensonge la base de sa propre morale, les vérités qui se trouvent dans celui-ci ne pourront jamais plus être annulées et effacées par l’histoire puisque désormais elles ont été révélées et divulguées par le moyen des exemplaires déjà distribués. La divulgation du livre, et ceci est un défi que l’auteur lance à ses ennemis, parmi lesquels il considère comme les pires les sots les hypocrites et les indifférents, même si elle a une grande importance, n’est tout de même pas déterminante pour le but qu’il s’est préfixé d’atteindre, car dans la réalité des faits un seul livre aurait suffit pour détruire l’imposture sur laquelle se base le Christianisme, c’est-à-dire celui qui constitue le dossier qui sera présenté au tribunal. Si jusqu’à maintenant le fait de divulguer une religion basée sur Christ, la Vierge Marie, saint Joseph, les apôtres Pierre et Paul etc. avait été permis par la loi car considéré un réconfort afin de pouvoir soutenir la partie humaine irrationnelle qui a besoin d’illusions pour faire face aux propres déficiences, comme se confier à la magie et aux horoscopes, ce ne sera plus possible le faire car bientôt, très bientôt, ce sera considéré un délit d’après les articles 661 et 494 du Code Pénal. De preuves pour pouvoir soutenir un procès il y en a tant qu’on veut, même trop et la dénonciation basée sur celles-ci ( reportée à la fin du livre) est prête … donc, c’est seulement une question de temps !
L'athéisme
de Cascioli Un athée courageux et réaliste L'absurdité de la Trinité, que la théologie avait réussi jusqu’à maintenant à soutenir en éludant la raison et le bon sens grâce à l’escamotage qui s’appelle mystère, est confirmée dans toute son utopie et extravagance par le livre « LA FABLE DU CHRIST » par le moyen d’une inattaquable documentation historique démontrant la non-existence de sa seconde personne: Jésus. Nombreux
sont ceux qui ont affirmé que mon livre, en détruisant l'historicité du
Christ, en plus de marquer la fin du Christianisme, fera chanceler non seulement
les deux autres religions monothéistes (judaïsme et islam), mais aussi toutes
les autres pour les analogies féeriques qui rendent irrationnelles toutes les
autres religions. Qui est Dieu ? "Dieu
est l’être plus que parfait, créateur et seigneur du ciel et de la Terre",
répondent les croyants. "C’est celui qui du néant a fait toutes les choses
et duquel tout procède, c’est l’éternel, la bonté infinie, l’omniscient et le
tout-puissant." EPICURE
: « Le mal existe, donc de deux choses l’une, ou Dieu
le sait ou il l’ignore. Dieu
sait que le mal existe, il peut donc le supprimer mais il ne veut pas… un tel
Dieu serait cruel et pervers, donc inadmissible.
LUCRÈCE, continuateur d’Epicure dans les recherches scientifiques,
dans son « De Rerum Natura » détruit tout concept d’un Dieu créateur :
« Le principe que nous poserons au-dessus de tout est
que rien ne naît du néant grâce à un pouvoir divin (ex nihilo nihil). La crainte
qui domine tous les mortels et qui les rend succubes des religions, dépend du
fait qu’ils voient s’accomplir sur la Terre des phénomènes qu’ils attribuent,
n’en connaissant pas la cause, à la puissance d’entités surnaturelles qu’ils appellent
dieux. C’est seulement en suivant la conviction qui nous porte à affirmer que
rien ne peut se créer du néant que nous pourrons découvrir l’objet de nos recherches
dont le résultat, une fois atteint, démontrera de quelle façon tout s’accomplit
sans l’intervention de Dieu ». «
Dieu est le nom que depuis le début des temps jusqu’à nos jours les hommes
ont donné à leur ignorance ». « Il est absurde d’admettre l’existence d’un créateur puisqu’il est impossible non seulement de démontrer mais aussi d’imaginer que le néant se transforme en quelque chose et quelque chose en le néant. » (Encyclopédie Anarchique) « Rien ne se crée, rien ne se détruit, tout se transforme » affirme Lavoisier en le démontrant scientifiquement. Le nombre même des religions qui soutiennent un propre Dieu qu’ils déclarent être le seul vrai face à tous les autres qu’ils considèrent faux, a porté le Dr Carret à cette conclusion : « Deux options sont possibles : soit Dieu a voulu se faire connaître des hommes soit il n’a pas voulu. S’il a voulu se faire connaître et qu'il n’a pas réussi, cela ne peut démontrer que le fait qu’il soit impuissant ; un dieu impuissant n’est pas admissible. Si Dieu n’a pas voulu se faire connaître alors toutes les religions sont fausses. Si Dieu n’a voulu ni l’une ni l’autre, alors il ne nous reste plus qu’à conclure que Dieu n’existe pas ». Le
seul fait que des athées existent, c’est-à-dire des personnes qui nient Dieu,
démontre que personne n’a réussi à en démontrer l’existence. C’est Dieu qui l’a créé… Qui est Dieu ? … C’est l’être le plus parfait … et en continuant avec une séquence de sophismes soutenus par le mystère, l’explication du croyant se conclut avec un impératif qui, en n’admettant pas de répliques, oblige à croire à l’existence d’un créateur. Il a toujours existé… et avec des démonstrations pratiques et irréfutables, l’athée démontre la non-existence d’un créateur.
Si le premier enseignement est dogmatique, le second est scientifique, et étant
donné que l’école ne doit pas jouer un rôle de catéchèse, l’enseignement doit
être libre de tout conditionnement qui vient de la présence de symboles qui garantissent
le faux, qui favorisent la continuation de la maladie mentale que sont les religions,
comme les crucifix suspendus aux murs. Quoique
l’on veuille le rendre métaphysique en le plaçant dans un monde transcendantal
au-dehors de la matière, Dieu est un produit des hommes, de leur ignorance, de
leur superstition, de leurs intérêts et égoïsme, il ne peut résulter, comme réellement
il est, qu’un être composé des pires défauts humains. Il suffit de lire la Bible
pour se rendre compte à quel point Dieu est un être anthropomorphe. L'homme
pour construire un Dieu parfait, tout-puissant et omniscient, a transféré
en lui tout ce qui en réalité lui appartient. Il en est résulté
que le Ciel s'est enrichi des biens d'une terre tellement pillée et si
appauvrie que ceci obligea l'homme à avoir recours au surnaturel (Dieu)
afin qu'il lui prodigue ce dont il a besoin par le moyen des révélations
qu'il concède, comme par hasard, seulement à ses ministres comme
les prêtres, les sorciers, les devins etc., lesquels en s'auto-proclamant
intermédiaires soumettent une humanité rendue sotte par le plagiat. L’évêque américain Brown (condamné par l’Église catholique deux fois pour hérésie ), niant tout concept créationniste et donc un Dieu transcendantal, a écrit : « Mon Dieu est une Trinité dont la matière est le Père, la force qui le meut est le Fils et la loi qui le règle est le Saint Esprit. Dieu est l’union de la Nature avec une humanité qui travaille pour la construction d’une société le plus possible heureuse ». Et Prosper Alfaric, ex professeur de théologie auprès des grands séminaires français, s’étant converti à l’athéisme, a conclu à la Sorbonne, lors d’une conférence visant à démontrer l’absurdité d’un Dieu créateur et législateur: « Si les athées répudient la foi traditionnelle cela n’est pas seulement parce que cette foi est en contraste avec les affirmations des mêmes croyants, avec la raison qui nie l’idée de Dieu, mais parce qu’ils ont compris que les faux dogmes vont contre la vraie morale, contre les exigences sociales du monde dans lequel nous vivons. La croyance en Dieu n’est pas seulement une simple illusion, une erreur purement théorique. Elle fausse la direction pratique de la vie en l’orientant vers une direction chimérique. Elle va contre les réalités sociales, les besoins essentiels de la collectivité humaine qui sont le premier moteur et la fin dernière de toute moralité ».
QUI SONT LES ATHÉES ? Affirmer que l’athéisme, d’après ce que les croyants prétendent, " appauvrit l’humanité et entrave les plus grands biens qui sont accordés à l’homme : Dieu, l’âme, l’immortalité, et que les causes directes de l’athéisme sont une éducation erronée, un milieu pervers, une vie licencieuse " est tout à fait faux et tendancieux. En opposition à ceci, Brandlangh a écrit que l’Athéisme conscient permet d’atteindre le bonheur humain qui est nié par les religions ; et la vie des vrais athées est ainsi plus vertueuse car plus libre et plus indulgente que celle des croyants. De ces croyants qui se trouvent en perpétuel conflit avec eux-mêmes et avec leurs proches à cause d’une foi qui rend irrationnels leurs comportements (exorcisme, extase, miracles, pénitences spirituelles et corporelles, intolérance, haine etc.) Parmi ceux qui ont combattu l’immoralité des religions nous pouvons trouver les plus grandes figures morales de l’histoire comme Lalande, Helvétius, Berthelot, Kropotkine, Bakounine, Tchernychevski, Myskline, Shelley, Carlyle, Holcroft, d’Owen, William Morris, Sylvain Maréchal, Laplace, tous des modèles de vertu et de science sans compter ceux appartenant à l’histoire plus reculée comme Bouddha, Lao-Tsé, Confucius, Socrate, Parménide, Epicure et tous les autres philosophes et hommes de science qui tout en étant athées ou agnostiques ont conduit une vie pouvant être portée comme exemple de ce qui, socialement, est considéré exemplaire et louable. Toutes des figures nobles qui s’opposent à l’hypocrisie de ces gens dévots et pieux qui remplissent les prisons du monde entier pour avoir commis les méfaits et les crimes les plus féroces sans parler de la dépravation et du vice que nous pouvons trouver parmi les représentants des diverses religions, et première parmi celles-ci le Christianisme dont l’histoire est remplie de corruption, prostitution et pornographie et dont les représentants majeurs ont fait la base de leur vie. D’après une récente enquête sur le monde des prisons il s’ensuit que les athées qui se trouvent en prison, en plus d’être en pourcentage très inférieurs au nombre de croyants, ont été condamnés non pas pour des délits de nature criminelle mais seulement pour des méfaits dépendant d’infractions de caractère politique-religieux: comme par exemple des manifestations anarchiques et le blasphème qui, dans certains états américains, est encore sévèrement puni. Gott, activiste politique, élu député deux fois, a été puni par un an de réclusion pour avoir distribué des prospectus dans lesquels il affirmait de ne pas reconnaître les lois d’un dieu inexistant. Bien
que des centaines de philosophes se soient employé à démontrer l’inexistence de
Dieu, nous pouvons voir que l’immoralité des religions continue à affliger l’humanité
par le moyen du plagiat qu’elles effectuent sur les masses de sots qui sont encore
les plus nombreux. Jamais jusqu'à maintenant, à la suite de l’apparition de ce livre, on n'avait pu affirmer de façon aussi indiscutable que « DIEU EST MORT ».
L'HISTOIRE,
MAÎTRESSE DE VIE Le personnage d’un Jésus révolutionnaire, construit par le socialisme sur une idée de Hegel qui se proposait de combattre le Christianisme en le politisant, n’est pas du tout nouvelle dans l’histoire christologique. Déjà un siècle et demi avant la naissance de Jésus - ou plutôt de Jean de Gamala sur lequel le Christ fut construit - les Maccabées, fondateurs du Parti Judaïque, avaient déjà construit un Messie à la double figure: celle du religieux et celle du politique. Double figure qui, à la suite de la défaite de l’armée essénienne judaïque en l’an 70 après notre ère, se divisa en régénérant le conflit qui existait déjà entre les deux Messies soutenus, l’un par le courant religieux et l’autre par celui politique, avant la révolte des Maccabées, c’est-à-dire lors des siècles V, IV et III qui suivirent la constitution du monothéisme hébraïque après la libération de la captivité de Babylone. Ces
deux Messies, qui au cours de vingt-six siècles se sont unis et éloignés comme
les plis d’un accordéon, nous les retrouvons encore une fois réunis ensemble en
la personne de Bin Laden lequel, tel un cavalier de l’Apocalypse, s’est mis en
tant qu'homme à la tête d’une armée en qualité de condottiere, et en tant que
Messie pour imposer une idéologie religieuse. Dans ce programme d’impérialisme
théocratique soutenu par Bin Laden contre le monde de l’occident, nous revivons
les révolutions judaïques combattues par les Esséniens : au début contre
les Hellénistes puis ensuite contre les Romains, comme si elles étaient reportées
par une chronique actuelle. La
même exploitation du territoire qui avec ses anfractuosités, ses cavernes et montagnes
les rend inexpugnables. Les mêmes méthodes de combat sous forme d’embuscades et
de sabotages contre les troupes occupantes et d’actions terroristes contre les
populations civiles qui leur sont hostiles. Mêmes
recherches, de l’un et de l’autre côté, d’alliances qui résulteront souvent infidèles
et traîtresses car mues par des intérêts d'opportunisme. Mêmes idéaux politiques
et religieux exprimés dans leurs livres (aujourd’hui le « Manuel du Révolutionnaire
», hier la « Bible »).
Ce qui change dans la guerre d’aujourd’hui sont seulement les noms des personnages
qui, dans la réalité de leur comportement, résultent en tout et pour tout identiques
à ceux qui soutinrent la Révolte des Maccabées et les Révolutions Messianiques.
Attestations reçues : Télégramme envoyé par Marcello Craveri, christologue de renommée mondiale, à l’occasion de la présentation du livre « LA FABLE DU CHRIST » à la librairie Odradek (Roma ).
"Monsieur Luigi Cascioli. ___________________ "
A mes amis croyants : ___________________ "
Dans le cadre de la récente littérature athée on met en évidence, pour
l’originalité et pour une inattaquable documentation historique, accompagnée d’un
pressant et rigoureux fil logique-rationnel, le texte « La Fable de Christ » de
Luigi Cascioli. Personne avant lui, en partant de la considération de la Bible
comme simple narration légendaire à l’intérieur de laquelle est inventé et superposé
le culte monothéiste pour des buts politiques, n’est arrivé à démontrer la non-existence
de Jésus-Christ. L’auteur est donc parvenu, par le moyen d’un propre parcours
spécifique, au même résultat auquel sont arrivés sur le plan philosophique général
les penseurs matérialistes et en particulier le plus moderne, le savant matérialiste
dialectique Frédéric Hengels. ". ___________________ "Avec
le caractère essentiel et la clarté d’une règle mathématique, Luigi Cascioli n’expose
pas une théorie sur la Fable de Christ, il démontre de façon irréfutable,
en s’appuyant sur tous les documents possibles et sur un raisonnement autant adhérent,
la vérité des paroles mêmes de l’athée Léon X au Cardinal Bembo : « Historia docuit
quantum nos iuvasse illa de Christo fabula." ___________________ "La « Fable de Christ », en démontrant la non existence de Jésus, rend vain tout concept théologique du Dieu des chrétiens que la théologie affirme être consubstantiel avec le Fils." Prof. Italo Libri - Enseignant-Professeur à l’université “LA SAPIENZA” – Rome ___________________ “La
Fable de Christ” est un décisif recueil de preuves sérieuses montrant que la figure
de Jésus est le résultat de manipulations et de falsifications de documents qui
en réalité se référaient à un certain Jean de Gamala, fils de Judas et petit-fils
d’Ezéchias, à son tour descendant direct de la lignée des Asmonéens fondée par
Simon, fils de Mattathias le Maccabée. ___________________
"Les minutieuses études historiques de Cascioli non
seulement rendent relatives toutes les interprétations des Saintes Écritures
mais éliminent aussi l’auréole d’irréfutable vérité autour d’elles. Un message
bien précis contre tous les intégrismes. " ___________________
"Nous sommes en l’an 1 de l’Ère Athée, nous
sommes fiers de vous l’annoncer! ___________________
" Bonjour, ___________________ E-mail envoyés par ceux qui cachent la tête sous le sable afin de ne pas connaître la vérité :
" Je ne lirai jamais un livre qui a été inspiré par
Satan."
" Un vrai croyant ne lira jamais un livre qui offense
tous ceux qui replacent tout espoir en celui qui a donné sa propre vie pour le
salut des hommes... Aie honte! "
www.rationalisme.org Association FABULA
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