Un
Juif nommé Mahomet - Enquête sur les monothéismes de
Bernard Raquin Présentation Grâce
aux découvertes archéologiques, aux traductions du sumérien,
de l'égyptien et de l'araméen, chacun peut enfin découvrir
l'origine des « textes sacrés ». Loin d'être parole de
« Dieu », les religions révélées recyclent les
vieux mythes archaïques. On verra pourquoi elles provoquent tant de massacres,
en entraînant leurs fidèles dans le piège de l'ignorance et
de la vanité. Cet ouvrage, très différent des légendes
officielles, nous entraîne dans l'une des plus fabuleuses créations
humaines : l'invention des mythes et des prophètes. L'auteur vous invite
à une passionnantë enquête au cur des religions monothéistes.
Vous découvrirez que, comme d'autres prophètes bibliques, Mahomet
semble l'une des plus fameuses supercheries historiques. Vous saurez aussi pourquoi,
à quelle époque et en quelle langue a été écrit
le Coran, et dans quel but. Indispensable pour être humain en quête
d'authenticté spirituelle, et aussi pour toute personne souhaitant comprendre
les événements contemporains et défendre la liberté
d'expression. Bernard Raquin, psychothérapeute et formateur,
a publié de nombreux ouvrages sur la spiritualité et le développement
personnel. Suite à l'assassinat de sa sur par son fils et son mari
se réclamant de « l'islam », il a décidé de mettre
à jour les falsifications pour éclaircir le chemin spirituel et
la vérité historique. [
Extrait de la 4me de couverture ] Après
Adam, Abraham, Moïse et d'autres "patriarches", l'existence de
Mahomet est remise en question, suite aux découvertes des archéologues
et des érudits. Grâce aux traductions du sumérien, de l'égyptien
et de l'araméen, l'intelligence de nos ancêtres resurgit du néant
! Tout porte à penser que Mahomet n'a jamais existé.
Chaque personne honnête, chaque croyant sincère, chaque humaniste
peut accéder à l'origine des trois religions dites du "Livre".
C'est une bonne nouvelle pour les gens qui aiment l'Esprit : les croyants n'ont
aucune raison de se soumettre aux intégristes mécréants.
D'autant que les religions nées avant, ou après celles-ci, sont
aussi respectables. Une passionnante enquête au cur des religions
prophétiques. Pourquoi, en quelle langue, à quelle époque,
et dans quel but le Coran a-t-il été rédigé ? Comment
a été inventé le personnage de Mahomet ? Pourquoi chaque
sourate est-elle un emprunt à de vieux textes, des légendes, des
mythes ou des erreurs historiques ? Les différentes actions prêtées
à Mahomet (assassinats, pillages) peuvent enfin être restituées
à leurs véritables auteurs. Vous saurez pourquoi Omar (deuxième
calife) a rédigé la sourate du voile. Sauf à blasphémer,
on ne peut considérer que Dieu recommande le voile, la lapidation, l'amputation,
l'esclavage, les sacrifices sanglants, les massacres ou la prostitution. En revanche,
les sectes archaïques qui ont créé l'islam les revendiquaient,
en se basant sur une théologie totalement fausse : terre plate, ciel en
pierre et autres mythologies mésopotamiennes. Pourquoi la Bible et
le Coran, et même les Actes des Apôtres, contiennent-ils des propos
illégaux (ou satanistes), méchants, sexistes, ségrégationnistes
? Pourquoi tant de mensonges et de cruauté ? Vous verrez pourquoi ces textes
ne sont pas la parole de "Dieu", mais une laborieuse création
humain, étalée sur des siècles. Bernard Raquin émet
des hypothèses basées sur les recherches des savants depuis un siècle,
bien plus crédibles que les légendes officielles. La spiritualité,
dimension essentielle de beaucoup d'entre nous, mérite sans doute quelques
heures de lecture ? Ce livre a été refusé par tous les
"grands" éditeurs, vous comprendrez pourquoi ! Avant-propos,
par quelques énoncés L'islamologue
Alfred-Louis de Prémare (Les fondations
de l'islam, Editions du Seuil) établit qu'une bataille s'est
déroulée en 683 en Syrie, et non à Médine, ville qui
n'existait pas au septième siècle, soit cinquante ans après
la mort officielle de "Mahomet". D'après les légendes
islamiques, j'ai calculé que Médine aurait compté vingt mille
habitants, soit autant que Paris à la même époque... en plein
désert, sans eau et sans agriculture. Creuser un fossé autour relève
de la fantaisie. ¬
Mahomet a été déclaré mort en 632 suite à une
tractation entre Abou Bakr et le calife Omar, sans concertation
avec Ali, floué alors qu'il dirigeait une armée de la région
qui est aujourd'hui l'Irak. Pourtant "Mahomet" donne des ordres
en 634, 640, 651, 660, 683, 688, 725, 785, 830, 855. ¬
Le mot medina (s'écrivant mdn) est un mot araméen syrien, et signifie
district, dans la région de Madian (s'écrivant aussi mdn) en Syrie.
Le mot la mecque est araméen syrien, et signifie ville basse, désignant
probablement un quartier de Damas. On sait maintenant que les premiers musulmans,
comme les premiers corans, et la vie de Mahomet, furent inventés en Syrie,
et non en Arabie. ¬
Concernant les objets ayant appartenu à Mahomet, c'est la même chose
que le tombeau d'Ali découvert cent cinquante ans après sa mort,
parce que des chiens évitaient respectueusement un monticule de terre :
de la légende. ¬
De même dans une mosquée en Égypte, on trouve la tête
d'Ali Hussein, fils d'Ali, égorgé bébé uniquement
parce qu'il était agarène, c'est-à-dire descendant d'Agar,
prétendue esclave d'Abraham. Cette tête fut retrouvée cinq
siècles après sa mort. Des tests ADN et au carbone 14 anéantiraient
ce culte imité des chrétiens, mais l'islam ne peut se passer de
paganisme. ¬
Ce mot agarène fut en usage jusqu'au dixième siècle. Le mot
ismaélite (descendant d'Ismaël, fils d'Agar) fut traduit en arabe
par musulman (soumis), le mot agarène (descendant d'Agar) étant
traduit par hégire, en inventant la fiction de la fuite à Médine.
¬ Une part du succès de l'islam, en dehors de la violence qui hébète
les méchants, vient du polythéisme islamique et des superstitions
coraniques : Allah le dieu de la lune, Al Rahman le dieu de la foudre, Satan le
dieu des enfers, Iblis le diable, les trois filles d'Allah (divinités d'origine
sumérienne puis syrienne), les djinns, les ogres, les anges, les démons,
les ifrits, les malaks et autres fantasmes, la Kaaba (Cybèle), la Vierge
Noire (météorite) et le culte des cailloux utilisés dans
les mosquées ou aux toilettes. Et bien sûr le culte solaire, avec
la prière qu'on doit faire avant ou après le lever du soleil, pour
ne pas avouer le paganisme de cette pratique qui vient des rédacteurs zoroastriens
du Coran. Et le Coran, qui sert de fétiche et de talisman dans les niaiseries
populaires. ¬
Sans oublier le seul dieu inventé par l'islam : Mahomet, le nouvel Associé
d'Allah. Les islamistes le considèrent comme un homme "parfait",
et veulent donc l'imiter... surtout dans les crimes rituels, les violences faites
aux femmes et aux gens plus évolués qu'eux. Ce sont essentiellement
les superstitions, l'ignorance, le pouvoir donné aux médiocres,
qui assurent la rentabilité de l'islam et permettent d'amasser des fortunes
considérables en manipulant le peuple. Ce n'est pas spécifique à
l'islam, mais alors que le paganisme est devenu minoritaire dans le bouddhisme,
l'hindouisme et le christianisme, il représente l'essentiel de la croyance
musulmane, à cause du contexte de fabrication de l'islam, et du refus de
plusieurs pays musulmans d'accéder au monde moderne en se libérant
des superstitions coraniques. Les imams ont pris la place des curés
moyenâgeux, interdisant la pensée pour mieux se remplir les poches,
et assurer l'impunité à leurs maîtres vautrés dans
la tartufferie.
¬ On peut aisément vérifier s'il a existé un fossé
à Médine, si des milliers de Juifs y ont séjourné
pendant des siècles. On ne peut pas faire mentir l'archéologie.
C'est grâce à cette science que nous savons que les Juifs n'ont pas
traversé le désert, que Salomon n'a pas construit de temple à
Jérusalem, que les murailles de Jéricho ne se sont pas effondrées
par le son magique des cornes de bélier, que Sodome et Gomorrhe n'existaient
pas. ¬ On pourrait
de même dater les éventuelles occupations humaines à La Mecque
avant le septième siècle, grâce aux débris, déchets,
outils cassés, poteries, ustensiles, etc. On a bien trouvé dans
le désert des traces humaines de plusieurs millions d'années...
Mais La Mecque n'existait pas, car on n'a jamais vu des milliers d'habitants s'installer
dans un désert aride sans eau ni cultures. ¬
On retrouverait aussi des traces du prétendu temple contenant trois cent
soixante idoles ; on en exhumerait des débris, mais évidemment ce
temple n'a pas existé car il est contraire aux mécanismes de la
psychologie religieuse. Ce sont les Perses qui inventèrent cette légende.
¬ Concernant les
reliques de Mahomet, comme les hadiths, elles ont été inventées
pour se donner du pouvoir et du prestige, et en imposer aux foules. Les marchands
vendent ce qu'on leur demande, et quoi de plus rentable que de fournir des objets
ayant appartenu à un soi-disant prophète ? On peut émettre
l'hypothèse que les "objets ayant appartenu à Mahomet, sa dent
et des cheveux" ne datent pas du septième siècle, quand le
calife Omar inventa le personnage de Mahomet, mais probablement du huitième
ou neuvième siècle, quand sa légende fut fabriquée
à partir de nombreux textes de provenances diverses. Mais
on peut parier que la Turquie, surtout avec la régression islamiste actuelle,
refuserait de faire expertiser, par un collège international d'archéologues
spécialisés, avec diffusion 24/24 par webcam sur internet, ces reliques,
sous prétexte qu'elles sont "sacrées", comme le tombeau
du "prophète" et le tombeau d'Ali.
¬ Souvenons-nous que les saints chrétiens avaient parfois plusieurs
têtes et plusieurs tibias, vénérés dans différents
endroits. L'impératrice Irène de Byzance (Constantinople) possédait
l'authentique table de la Cène, en deux exemplaires ! Les chrétiens
honoraient jadis des morceaux de la "Vraie Croix", alors qu'on sait
que la croix était une poutre, que les condamnés portaient cette
poutre, et la posaient entre deux piquets terminés par une anse ouverte.
D'après le père jésuite Albert Chapelle (qui a été
mon directeur de conscience pendant toute mon adolescence), le mot grec utilisé
pour traduire "croix" est le même que le mot utilisé pour
dire "serpent", c'est tout dire... Récemment
encore, un faussaire a jeté l'émoi en prétendant avoir trouvé
une pierre tombale sur laquelle était écrit "Ici Jacques, frère
de Jésus". Heureusement la science moderne a anéanti cette
tentative d'escroquerie.
¬ En pays musulman, des escrocs vendent des ufs, des feuilles, des moutons,
des photos de nuages sur lesquels apparaît le mot "Allah". Et
même des photos de djinns ! Ou encore, si une fille riche est violée
par un homme de sa famille, on en accusera les djinns. En Europe régnaient
jadis les superstitions des succubes et des incubes, mais ces superstitions coraniques
assurent de confortables revenus à d'innombrables charlatans musulmans.
Il est naturel que des puissants, des scribes et marchands malins, aient
inventé des reliques et des hadiths de Mahomet. ¬
On sait aussi que le gouverneur Hajjâj est probablement l'auteur
de la première recension partielle du Coran, au huitième siècle,
la recension d'Othman n'étant qu'une légende. Il a procuré
à Jérusalem une autre pierre noire sur laquelle Abraham avait aussi
posé le pied (en plus de celle du prétendu temple de Salomon et
de la pierre noire de la Kaaba), car les ismaélites qui deviendront les
sunnites se prosternèrent vers Jérusalem pendant quatre-vingt ans
et vénéraient des cailloux, comme tous les peuples anciens. Le culte
des cailloux est attesté en Syrie, en Palestine, à Rome, en Europe
et au Japon, bien avant le culte de la météorite de la Kaaba.
¬ Sur ordre de Satan qui se fait souvent appeler Yahvé ou Allah, Abraham
voulut égorger ses fils en même temps à Jérusalem et
à La Mecque tout en abandonnant l'un d'eux dans le désert...
Abraham, on le sait aujourd'hui, n'a pas existé, et pourtant il posait
son empreinte sur toutes les météorites qu'il voyait... ¬
En dehors de l'égorgisme (névrose satanique prêtée
à Dieu dans la Bible hébraïque et le Coran) Abraham était
victime d'un trouble psychologique très rare : le météorito-écrasologisme.
Il était vraiment béni, pour dénicher les météorites,
et très fort, pour y imprimer la marque de son pied ou faire fondre la
roche sans se brûler.
Mais toutes les religions sont construites sur des légendes, des recyclages
et des interprétations en faveur des riches, et l'islam est une religion
entièrement humaine, fondée sur un livre entièrement humain,
et un prophète aussi imaginaire que les autres. Les fouilles à Médine
et à La Mecque sont, pour les musulmans, la meilleure chance de se libérer
des islamistes et d'honorer Allah, qui a permis le progrès de l'archéologie.
L'interdiction faite aux non-musulmans de s'y rendre, comme l'interdiction des
cultes des autres dieux uniques, ou l'interdiction faite aux Juifs de pénétrer
en Arabie, sont bien sûr des actes racistes, et sans doute contraires aux
règles de l'ONU ." [ Extrait d'une discussion avec l'auteur
] L'Invention
d'Allah, du Coran, de l'islam et de Mahomet : l'avis des experts, islamologues,
érudits et archéologues Un
érudit allemand, Theodor Nöldeke, écrivit en 1860 lhistoire
du Coran. Pour la première fois, les chercheurs sinterrogeaient sur
la création de lislam, en dehors des légendes. (Geschichte
des Quorans, Leipzig 1919). Force fut de constater que le Coran,
loin dêtre tombé du ciel, obéit à des règles
de composition humaine, compilation laborieuse, réécritures permanentes.
¬ Un
autre érudit, Adoph von Harnack, affirma, dès 1874, que le
« mahométisme nest quune lointaine dérivation
de la gnose judéo-chrétienne, et non une religion nouvelle ».
¬ Puis le
français Gabriel Théry (sous le nom dHanna Zakarias)
après trente ans détudes, conclut dans son ouvrage De
Moïse à Mohammed que le Coran ne pouvait être luvre
de Mahomet. Daprès lui, lauteur était converti au judaïsme
par son instructeur juif. ¬
Bruno Bonnet Eymard constata que les textes ayant servi à composer
le Coran étaient dorigine et dinspiration syrienne. ¬
Après 1950, le père Bertuel confirma ces recherches. Il publia
Lislam, ses véritables origines
(Nouvelles Editions latines, Paris 1981). Daprès lui, Mahomet
est un rabbin chassé dEdesse par Héraclius, en 628. «
Qui a prononcé ces paroles ? demande Bertuel. Ni Allah bien entendu, ni
Mahomet, mais des paroles si profondément enracinées dans le judaïsme
nont pu être prononcées que par un Juif authentique. Tout historien
est conduit à cette conclusion : un Juif sagite à La Mecque.
Il se présente aux Arabes comme le Prophète de Dieu
Quel serait
de plus cet Allah qui ne révélerait aux Mecquois que les plus vieilles
doctrines de lAncien Testament ? » Bertuel ajoute : «
Le seul livre de religion qui existera à jamais pour les Juifs est le Coran
(recueil explicatif) hébreu, la Thora de Moïse, guide de vérité
et de justice. Yahvé en est lauteur. Moïse nest ni un
djinn, ni un devin, ni un poète. Dieu lui est apparu. Il a parlé
à son serviteur. Gloire à Yahvé ! La grande nouveauté
du livre arabe, cest quil ne contient précisément rien
de nouveau. Cest un livre du passé
chacune de ses affirmations
et même les détails de ses descriptions peuvent être facilement
rattachés à un texte biblique
Cest tout un plan de conversion
(au judaïsme) ». ¬
Beaucoup de travaux insistent sur le sabéisme de lépoque.
Dautres mettent laccent sur le nombre élevé de mots
persans et syriaques dans le Coran. On peut lire à ce sujet Pourquoi
je ne suis pas musulman, d' Ibn Warraq (L'Age d'Homme, Lausanne
1999) ¬ Hassan
Abassi, dans Les secrets de l'islam, cite
les experts musulmans recensant des milliers de différences entre les différents
corans. ¬ Patricia
Crone, et Michaël Cook, coauteurs de Hagarism,
The making of the islamic world, déclarent : « La tradition
fondamentalement historique, à laquelle (les conteurs) sont supposés
avoir ajouté simplement leurs fables, nexiste pas. Vu quun
conteur en suivait un autre, le souvenir du passé se réduisait à
un stock commun dhistoires, de thèmes et de motifs propres à
être combinés ou recombinés dans une profusion de faits apparents.
Chaque combinaison et recombinaison créait alors de nouveaux détails,
et, dans la mesure même où des informations fausses saccumulaient,
de linformation authentique était perdue. ». ¬
Patricia Crone a aussi publié Meccan trade and
the rise of islam, démontrant que le berceau de lislam
ne peut avoir été La Mecque. Daprès elle, lexistence
de La Mecque est très incertaine, avant que les califes nen fassent
un centre de pèlerinage. Ces deux auteurs, Crone et Cook, considèrent
que lhistoire islamique au moins jusquà Al-Malik (mort en 705)
est une invention tardive. ¬
Michaël Cook signale les similarités entre les croyances musulmanes
et celles des Samaritains, concernant la religion dAbraham, dans louvrage
intitulé Le livre des Jubilés (daté
de - 140 à - 100 avant J.C.) ¬
Antoine Moussali estime que le Coran nétait que le lectionnaire,
en araméen, dune secte judéo-nazaréenne, au début
du VIIe siècle (La croix et le croissant,
Editions de Paris, 1998) "Comme tout le monde, écrit-il dans
Vivre avec l'islam (Saint-Paul, 1997), j'ai longtemps
pensé que le Coran était une source sérieuse pour la connaissance
de l'islam. Aujourd'hui je serais nettement moins affirmatif. L'islam lui est
fondamentalement antérieur.". ¬
Dans son ouvrage Le Coran, la Bible et l'Orient ancien,
Mondher Sfar souligne que les noms attribués à Allah sont
recopiés des noms attribués au dieu babylonien Mardouk, dans un
poème datant du 12ème siècle avant J.C. Il rapporte
aussi que les descriptions du paradis et ses raisins blancs (traduits faussement
par "houris vierges" lors de la traduction du Coran en arabe)
concernent le roi Assourbanipal, sur un bas-relief datant de huit siècles
avant J.C. ¬
Dans Le Coran est-il authentique ?, il rappelle
que nombre de sourates du Coran étaient dites par le calife Omar, puis
confirmées par Allah. Le fils d'Omar déclare : "Omar
avait une vision et alors le Coran descendait selon celle-ci... Personne ne pourra
dire : j'ai eu le Coran dans sa totalité." ¬
Dans A la recherche de Muhammad, Grégoire
Félix évoque un manuscrit syrien de 874, où l'émir
des Hagarènes (descendants d'Agar, mère d'Ismaël) se refère
à la Thora en hébreu, et non au Coran. ¬
Alfred-Louis de Prémare, dans Les fondations
de l'islam (Le Seuil), évoque la charte de Médine, datée
en réalité de 830, et pourtant rédigée par Muhammad
le prophète. Il rappelle que tout ce qui concerne l'islam et l'existence
de La Mecque date de 250 après les "faits." ¬
Il explique aussi que la bataille du Fossé eut lieu en 688 en Syrie et
non à Médine, soit cinquante ans après la mort officielle
de Mahomet. Il rappelle "qu'on déchire et brûle régulièrement
dans cette histoire perturbée du Coran." ¬
Dans son livre Les Arabes n'ont jamais envahi l'Espagne
(Flammarion), Ignacio Olaguë explique que Mahomet donne encore des
ordres en 855. Ce qui confirme que Mahomet n'était que le surnom de tous
les chefs de tribu. ¬
Dans leur livre La Bible dévoilée, les
nouvelles révélations de l'archéologie, (Bayard)
Israël Finkelstein et Neil Silberman rappellent que l'ancien
testament de la Bible est quasiment entièrement faux d'un point de vue
historique. Donc a fortiori on en déduit que le Coran, évoquant
sans cesse Moïse et le Pharaon noyé, et d'autres légendes bibliques,
est encore plus faux. ¬
De nombreuses traductions mésopotamiennes démontrent que la plupart
des mythes bibliques datent de plusieurs milliers d'années avant les Hébreux.
On peut lire L'épopée de Gilgamesh,
traduite par Jean Bottéro (Gallimard) et L'histoire commence à
Sumer, de Samuel Kramer (Flammarion) ¬
Le Dr Gerd-Rüdiger Puin, professeur à luniversité
de Sarrebrück (Allemagne) traducteur du Coran de Sanaa, évoque
les évolutions du texte dans Die Syro-Aramaische
Lesart des Koran, Christop Luxenberg, (Verlag Hans Schiler) «
Puin a remarqué que les parchemins étaient des palimpsestes, cest-à-dire
des manuscrits dont on a effacé le texte initial pour pouvoir en écrire
un nouveau
. Le Coran de Sanaa a été rédigé sans
aucune marque diacritique (points, accents, cédilles portant sur une lettre
ou un signe phonétique pour en modifier la valeur), sans voyelles ni aucun
guide pour la lecture. » (Observations on Early Quran Manuscripts in
Sana. Stefan Wild (ed), The Quran As Text, Leiden/New York/Köln (E.J.
Brill) 1996 p. 107-111.) Il la traduit à partir de laraméo-syriaque,
ce qui donne un texte exprimant beaucoup plus la spiritualité que le Coran
arabe. ¬
Le Coran arabe est un faux : exemple de manuscrit effacé et réécrit.
Palimpsest
du Codex Sanaa 01-27.1, Dâr al-MakhTûTât al-Yamanîya,
Sanaa, Photo: Gerd-Ruediger Puin |
This
codex is one of the Qur'an fragments/specimens which were found in 1972 in the
loft of the Great Mosque in Sanaa, Yemen. These Yemeni Qur'ans were an object
of scholarly research from 1980 onwards. Under the supervision of Dr. Albrecht
Noth, Professor at the University of Hamburg, Dr. Gerd-Ruediger Puin was in charge
of the scholarly as well as practical organization of the project from 1981 until
1985, when he was succeeded by his colleague Dr. Hans-Caspar Graf von Bothmer
for another two years (2). The above piece of the palimpsest codex shows two
layers of script. Both scripts are of the Hijazi type: - Firstly, a dark brown
script is part of surah 20:1-10 (surah Taahaa or al-kamiyl). - Secondly, with
some patience you will realize that under the darkbrown script traces of a light
brown script are recognizable. This latter original script was washed off from
the parchment so that it might be used again. The chess-boardlike pattern of the
substrate is an artifact of the scanning procedure. Without
applying special technical means the older script is not readable, but it is undoubtedly
a Qur'anic text, too. This is to be seen easily by a peculiarity of both layers
of writing: The washed off script as well as the second writing display verse
separators, i.e. some simple geometrical point patterns. Even in the above small
piece of the palimpsest one may recognize such separators in both layers of writing.
Additionally at least one separator of surahs (two parallel lines crossing the
page from right to left, again with some patterns between them) clearly can be
recognized in the original script of the palimpsest codex (to be seen in the above
piece). Such separators were used only in Qurans. There seems to be not
any exception in non-Quranic texts within other early-Islamic writings. Why
the older layer was wiped out cannot be said definitely untill it can be read
in detail. But there is hardly any other explanation for this replacement of a
Qur'anic text by another one conceivable than that the older text version might
have scandalized theologians or other people in power or charge. This doesn't
necessarily imply an alteration of the very text, since the formative period of
the Qur'anic text already may have been completed, when the first script was written.
Most probably the arrangement of the surahs was altered. And this hypothesis is
corroborated by the fact that amongst the findings in Sanaa there are indeed Qur'ans
with an arrangement of surahs different from the transmitted Qur'an. |
¬
Lislamologue Jacqueline Chabbi estime que le Coran a été
compilé sous le calife Abd Al-Malik, à Damas, au début du
VIIIe siècle (époque dHajjâj). ¬
Les plus anciens corans existants sont ceux du Yémen, découvert
en 1972, celui de Topkapi (Istanboul), fin du VIIIe ou début du IXe siècle.
Un autre exemple se trouve à la British Library à Londres, datant
de la fin du VIIIe siècle, soit cent cinquante ans après lhégire.
¬ J. Wansbrough
a étudié les origines samaritaines du Coran, dans Quranic
Studies, Oxford, 1977, et The Sectarian Milieu,
Oxford, 1978. Il a montré que le texte définitif du Coran nétait
toujours pas achevé au IXe siècle. Il en déduisit quune
origine arabe de lislam était hautement improbable. Il note
aussi labsence de toute référence au Coran dans le Fiqh
Akbar I, document daté du milieu du VIIIe siècle, représentant
pourtant lorthodoxie dogmatique. Il ajoute que le Coran est « le
produit dun développement organique de traditions originellement
indépendantes, au cours dune longue période de transmission.
» ¬
Goldziher, dans On the Development of Hadith
déclare « quun vaste nombre de hadiths, acceptés
même dans les recueils musulmans les plus rigoureusement critiques, sont
des faux complets de la fin du VIIIe et du IXe siècle, et quen conséquence,
les chaînes de transmetteurs méticuleux qui les étayent sont
totalement fictifs. » Acquérir
le livre " Un juif nommé Mahomet " ou d'autres ouvrages
de Bernard Raquin [
Extrait de la 4me de couverture ] Grâce
aux découvertes archéologiques, aux traductions du sumérien,
de l'égyptien et de l'araméen, chacun peut enfin découvrir
l'origine des « textes sacrés ». Loin d'être parole de
« Dieu », les religions révélées recyclent les
vieux mythes archaïques. On verra pourquoi elles provoquent tant de massacres,
en entraînant leurs fidèles dans le piège de l'ignorance et
de la vanité. Cet ouvrage, très différent des légendes
officielles, nous entraîne dans l'une des plus fabuleuses créations
humaines : l'invention des mythes et des prophètes. L'auteur vous invite
à une passionnantë enquête au cur des religions monothéistes.
Vous découvrirez que, comme d'autres prophètes bibliques, Mahomet
semble l'une des plus fameuses supercheries historiques. Vous saurez aussi pourquoi,
à quelle époque et en quelle langue a été écrit
le Coran, et dans quel but. Indispensable pour être humain en quête
d'authenticté spirituelle, et aussi pour toute personne souhaitant comprendre
les événements contemporains et défendre la liberté
d'expression. Bernard Raquin, psychothérapeute et formateur,
a publié de nombreux ouvrages sur la spiritualité et le développement
personnel. Suite à l'assassinat de sa sur par son fils et son mari
se réclamant de « l'islam », il a décidé de mettre
à jour les falsifications pour éclaircir le chemin spirituel et
la vérité historique.
Site de Bernard Raquin www.rationalisme.org
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